PROGRAMMATION OCTOBRE 2007
France, 1983, 1h42
avec Sandrine Bonnaire, Dominique Besnehard, Maurice Pialat, Evelyne Ker, Anne-Sophie Maillé
avec Sandrine Bonnaire, Dominique Besnehard, Maurice Pialat, Evelyne Ker, Anne-Sophie Maillé
Suzanne étouffe dans sa famille. Elle aime coucher avec les garçons, mais craint de s’engager dans l’amour, auquel elle ne croit pas... Pialat parvient à mettre en évidence des émotions et des sentiments complexes, souvent violents, sans jamais verser ni dans le point de vue moralisateur, ni l’immoralisme complaisant.
« Plutôt qu’une intrigue dramatique, Pialat capte, souvent en plans-séquence, les moments où la violence tend à l’extrême des rapports familiaux exacerbés. Une improvisation savamment maîtrisée permet à la jeune Sandrine Bonnaire de révéler une spontanéité surprenante dans le rôle de l’adolescente prise aux pièges de la famille, de la société, de la morale et de sentiments contradictoires, entre l’appétit de vivre et la crainte de s’engager. »
Joël Magny, Les Cahiers du cinéma
« La présence de Sandrine me fut bénéfique. Comme du reste aux autres comédiens. Elle nous a littéralement entraînés. Qui aurait pu l’imaginer ? Et pourtant ce fut ainsi. La débutante nous a inspiré. Bien entendu je l’initiais aux trucs techniques, mais indéniablement elle a joué un rôle moteur déterminant. Elle a été notre locomotive. »
Maurice Pialat, Propos recueillis par Serge Tribhout, Paris, octobre 1983
« Pialat a découvert Bonnaire, qui lui donne tout dans ce portrait sans concession d’une adolescente qui rêve d’amour et d’Amériques. Une des scènes majeures du cinéma des vingt dernières années : le retour du fantôme du père venu régler ses comptes avec les siens. L’un des films les plus « tendres »de Pialat. »
Jean-Baptiste Morain, Les Inrockuptibles
« Plutôt qu’une intrigue dramatique, Pialat capte, souvent en plans-séquence, les moments où la violence tend à l’extrême des rapports familiaux exacerbés. Une improvisation savamment maîtrisée permet à la jeune Sandrine Bonnaire de révéler une spontanéité surprenante dans le rôle de l’adolescente prise aux pièges de la famille, de la société, de la morale et de sentiments contradictoires, entre l’appétit de vivre et la crainte de s’engager. »
Joël Magny, Les Cahiers du cinéma
« La présence de Sandrine me fut bénéfique. Comme du reste aux autres comédiens. Elle nous a littéralement entraînés. Qui aurait pu l’imaginer ? Et pourtant ce fut ainsi. La débutante nous a inspiré. Bien entendu je l’initiais aux trucs techniques, mais indéniablement elle a joué un rôle moteur déterminant. Elle a été notre locomotive. »
Maurice Pialat, Propos recueillis par Serge Tribhout, Paris, octobre 1983
« Pialat a découvert Bonnaire, qui lui donne tout dans ce portrait sans concession d’une adolescente qui rêve d’amour et d’Amériques. Une des scènes majeures du cinéma des vingt dernières années : le retour du fantôme du père venu régler ses comptes avec les siens. L’un des films les plus « tendres »de Pialat. »
Jean-Baptiste Morain, Les Inrockuptibles
SEANCES
Vendredi 26 octobre à 18h30
Samedi 27 octobre à 20h
Lundi 29 octobre à 20h30
Samedi 27 octobre à 20h
Lundi 29 octobre à 20h30