PROGRAMMATION MAI 2010
Suède, 2006, 1h31, VOSTF
Avec Holger Eriksson, David Johnson, John Axel Eriksson, Jesper Ganslandt, Jörgen Svensson
Avec Holger Eriksson, David Johnson, John Axel Eriksson, Jesper Ganslandt, Jörgen Svensson
Dernier été à Falkenberg. Ils sont cinq, cinq amis d'enfance qui sont devenus de jeunes hommes... David, qui aspire à redevenir un enfant, et Holger, décidé à ne jamais déménager. Deux inséparables, qui se réfugient dans la forêt et auprès de l'océan, pour échapper à l'avenir. Jesper, lui, ne cesse de rentrer au bercail sans que personne ne réalise jamais qu'il s'est absenté. Jörgen finance son entreprise d'hébergement touristique, « Petit déjeuner au lit », en pillant des maisons. John, enfin, toujours de mauvais poil, continue de s'accrocher à la conviction qu'un peu de bacon sufit à son bonheur. Le futur menace à l'horizon, mais tous ne seront pas là pour le voir.
Un film sur l'amitié, les souvenirs, et un ultime adieu à la petite bourgade en bord de mer.
« La Scandinavie de Ganslandt exsude ce malaise civilisationnel des opulences neutres, où même les plus intimes rapports familiaux semblent être le fruit de partenariats contractuels et où règne l'infinie pacification des conflits. De très beaux moments, gracieux et musicaux, jalonnent Farewell : la prise de champignons hallucinogènes, le bain édénique des deux garçons... Le regard est neuf, simple, amical et dégagé, mais peu optimiste pour autant. Certes, le cinéma du jeune Ganslandt, 28 ans, paraît parfois sous influence, faisant penser à du Van Sant boréal, voire du Harmony Korine septentrional, mais ces références y sont très intelligemment infusées. »
Olivier Seguret, Libération
Un film sur l'amitié, les souvenirs, et un ultime adieu à la petite bourgade en bord de mer.
« La Scandinavie de Ganslandt exsude ce malaise civilisationnel des opulences neutres, où même les plus intimes rapports familiaux semblent être le fruit de partenariats contractuels et où règne l'infinie pacification des conflits. De très beaux moments, gracieux et musicaux, jalonnent Farewell : la prise de champignons hallucinogènes, le bain édénique des deux garçons... Le regard est neuf, simple, amical et dégagé, mais peu optimiste pour autant. Certes, le cinéma du jeune Ganslandt, 28 ans, paraît parfois sous influence, faisant penser à du Van Sant boréal, voire du Harmony Korine septentrional, mais ces références y sont très intelligemment infusées. »
Olivier Seguret, Libération
Séances
Mercredi 12 mai à 21h
Samedi 15 mai à 18h
Lundi 17 mai à 21h
Mercredi 19 mai à 19h
Lundi 24 mai à 21h
SORTIE NATIONALE
Samedi 15 mai à 18h
Lundi 17 mai à 21h
Mercredi 19 mai à 19h
Lundi 24 mai à 21h
SORTIE NATIONALE