PROGRAMMATION DÉCEMBRE 2005
USA, 1989, 2h06, VOSTF
avec Michael Keaton, Jack Nicholson, Kim Basinger, Michael Gough, Billy Dee Williams, Jerry Hall, Robert Wuhl
avec Michael Keaton, Jack Nicholson, Kim Basinger, Michael Gough, Billy Dee Williams, Jerry Hall, Robert Wuhl
Non seulement Batman doit affronter le Pingouin, monstre génétique doté d'une intelligence à toute épreuve, qui sème la terreur ; mais, plus difficile encore, il doit faire face à la séduction de deux super-femmes, la douce Selina Kyle et la féline Catwoman qui va lui donner bien du fil a retordre. Si Bruce Wayne apprécie Selina, Batman n'est pas insensible au charme de Catwoman.
« Devenu l’otage du phénoménal succès de son Batman, Tim Burton est contraint de lui donner une suite. Il s’agit « d’exploiter le filon », mais le réalisateur déjoue cette logique commerciale par un surcroît d’inventivité. Autour de l’homme chauve-souris, il invite une femme chat. Et un enfant pingouin qui semble sorti d’un roman de Dickens : abandonné par ses parents, il a grandi dans la honte et la haine de lui-même, jusqu’à devenir un terrible prédateur qui réclame vengeance. Avec cette étrange ménagerie, Burton nous offre des personnages toujours plus fascinants, mais aussi plus consistants. A l’image de Batman lui-même, tous ont une fêlure secrète qui ancre en eux la nostalgie de l’enfance, de l’innocence. Le film ressemble d’ailleurs à ces jouets d’antan, façonnés avec amour, qu’on a plaisir à regarder et… à casser. C’est ce que fait Burton en maniant aussi bien la cruauté que l’émerveillement. »
Frédéric Strauss, Télérama
« Devenu l’otage du phénoménal succès de son Batman, Tim Burton est contraint de lui donner une suite. Il s’agit « d’exploiter le filon », mais le réalisateur déjoue cette logique commerciale par un surcroît d’inventivité. Autour de l’homme chauve-souris, il invite une femme chat. Et un enfant pingouin qui semble sorti d’un roman de Dickens : abandonné par ses parents, il a grandi dans la honte et la haine de lui-même, jusqu’à devenir un terrible prédateur qui réclame vengeance. Avec cette étrange ménagerie, Burton nous offre des personnages toujours plus fascinants, mais aussi plus consistants. A l’image de Batman lui-même, tous ont une fêlure secrète qui ancre en eux la nostalgie de l’enfance, de l’innocence. Le film ressemble d’ailleurs à ces jouets d’antan, façonnés avec amour, qu’on a plaisir à regarder et… à casser. C’est ce que fait Burton en maniant aussi bien la cruauté que l’émerveillement. »
Frédéric Strauss, Télérama
SEANCES
samedi 31 décembre à 16h
mardi 3 janvier à 21h
mardi 3 janvier à 21h