PROGRAMMATION JANVIER 2006
USA, 1989, 2h06, VOSTF
avec Michael Keaton, Jack Nicholson, Kim Basinger, Michael Gough, Billy Dee Williams, Jerry Hall, Robert Wuhl
avec Michael Keaton, Jack Nicholson, Kim Basinger, Michael Gough, Billy Dee Williams, Jerry Hall, Robert Wuhl
À Gotham City, espèce de New-York des années 50, le crime est partout. Un justicier masqué vêtu d'une combinaison de chauve-souris consacre sa vie à faire régner l'ordre. Ce dernier est en réalité Bruce Wayne, un milliardaire dont les parents furent tués sous ses yeux alors qu'il n'avait que 10 ans. Alors, qu'il essaye de faire fuir des voleurs dans une usine de chimie, il fait tomber Jack Napier dans de l'acide. Celui-ci, entièrement défiguré, devient le Joker, et est bien décidé à contrarier les plans du Maire, qui veut faire de Gotham City une ville sûre.
« Tim Burton a fait de Batman un personnage plus mystérieux, plus attachant. C’est par son ambivalence qu’il attire notre regard : millionnaire aristo cachant un justicier, justicier cachant un homme mélancolique (hanté par le meurtre de ses parents auquel il assista enfant), ce Batman n’a pas seulement un masque de chauve-souris, mais un double visage. Face à cet invincible étrangement meurtri, l’action et la distraction sont assurées par un méchant haut en couleurs, le fameux Joker grimaçant, qui semble avoir été inventé pour Jack Nicholson. Le caractère plutôt simpliste de ce combat entre le bien et le mal rappelle la bande dessinée, mais le film a des références esthétiques plus ambitieuses : dans la noirceur des décors de Gotham City, c’est l’expressionnisme qui renaît. »
Frédéric Strauss, Télérama
« Tim Burton a fait de Batman un personnage plus mystérieux, plus attachant. C’est par son ambivalence qu’il attire notre regard : millionnaire aristo cachant un justicier, justicier cachant un homme mélancolique (hanté par le meurtre de ses parents auquel il assista enfant), ce Batman n’a pas seulement un masque de chauve-souris, mais un double visage. Face à cet invincible étrangement meurtri, l’action et la distraction sont assurées par un méchant haut en couleurs, le fameux Joker grimaçant, qui semble avoir été inventé pour Jack Nicholson. Le caractère plutôt simpliste de ce combat entre le bien et le mal rappelle la bande dessinée, mais le film a des références esthétiques plus ambitieuses : dans la noirceur des décors de Gotham City, c’est l’expressionnisme qui renaît. »
Frédéric Strauss, Télérama
SEANCES
mardi 3 janvier à 18h30