DANSE ET CINÉMA • AOÛT/SEPTEMBRE 2014
France, 2000, 1h29
avec Denis Lavant, Michel Subor, Grégoire Colin
avec Denis Lavant, Michel Subor, Grégoire Colin
À Marseille, l'ex-adjudant Galoup se rappelle les moments qu'il a vécu avec ses hommes dans le golfe de Djibouti, lorsqu'il faisait encore partie de la Légion Étrangère. Il se remémore également les événements qui l'ont amené à en perdre le commandement. Un ballet visuel qui se nourrit des paysages minéraux et de ces corps capables de refléter ce qui nous travaille, nous fissure et lentement nous désagrège.
"Claire Denis signe là un film palpitant, entre la vie et la mort. C'est un voyage éblouissant au pays des vaines illusions qui impressionne les rétines comme le soleil de midi. De quoi lui retourner le titre en compliment..."
Marine Landrot, Télérama
"Comme d’habitude, Denis filme admirablement les corps, mais aussi les paysages minéraux de la corne de l’Afrique, la lumière aveuglante, les matériaux et textures, la chaleur torride. Le film peut alors être vu comme une chorégraphie, un ballet de couleurs, une fusion de matières, aux frontières mêlées de l’organique et du minéral, de l’abstrait et du concret. C’est un objet solaire, insolite et magnifique, qui évoquerait une rencontre entre Raoul Walsh et Pina Bausch sous le regard absent de Buzzati.(...)Gloire aussi aux acteurs (Subor et Lavant en tête) dont la forte présence leste le projet d’un poids de chair indéniable. Beau travail est un objet filmique captivant de bout en bout, une preuve superbe et tangible de cinéma comme art de l’altérité, une manifestation supplémentaire de la puissance d’expression et de la singularité du talent de Claire Denis".
Serge Kanganski, Les Inrockuptibles
"Claire Denis signe là un film palpitant, entre la vie et la mort. C'est un voyage éblouissant au pays des vaines illusions qui impressionne les rétines comme le soleil de midi. De quoi lui retourner le titre en compliment..."
Marine Landrot, Télérama
"Comme d’habitude, Denis filme admirablement les corps, mais aussi les paysages minéraux de la corne de l’Afrique, la lumière aveuglante, les matériaux et textures, la chaleur torride. Le film peut alors être vu comme une chorégraphie, un ballet de couleurs, une fusion de matières, aux frontières mêlées de l’organique et du minéral, de l’abstrait et du concret. C’est un objet solaire, insolite et magnifique, qui évoquerait une rencontre entre Raoul Walsh et Pina Bausch sous le regard absent de Buzzati.(...)Gloire aussi aux acteurs (Subor et Lavant en tête) dont la forte présence leste le projet d’un poids de chair indéniable. Beau travail est un objet filmique captivant de bout en bout, une preuve superbe et tangible de cinéma comme art de l’altérité, une manifestation supplémentaire de la puissance d’expression et de la singularité du talent de Claire Denis".
Serge Kanganski, Les Inrockuptibles
Séances
mardi 30 septembre 21:00
dimanche 5 octobre 16:30
lundi 6 octobre 18:30
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lundi 6 octobre 18:30