PROGRAMMATION MARS 2011
USA, 1935, 1h39, VOSTF
Avec Errol Flynn, Olivia de Havilland, Lionel Atwill
Avec Errol Flynn, Olivia de Havilland, Lionel Atwill
Angleterre, 1685. Un jeune médecin pacifiste, Peter Blood, est arrêté pour avoir recueilli et soigné un rebelle. Reconnu immédiatement coupable de trahison, il est envoyé à la Jamaïque pour y être vendu comme esclave. Profitant d’une attaque de la ville par les pirates espagnols, Blood et un groupe d’esclaves parviennent à s’échapper, investissent le navire espagnol et deviennent eux-mêmes pirates !... Un film de pirates trépidant, avec un Errol Flynn à son meilleur.
« Un film mythique de l'histoire du cinéma de cape et d'épée hollywoodien, combinant un scénario solide, une image soignée, le charisme virevoltant d'Errol Flynn et la mise en scène extrêmement créative de Michael Curtiz. L'ensemble donne un spectacle époustouflant de grâce et d'énergie, qui retrouve la richesse des grands romans d'aventures anglo-saxons. Exotisme, suspense, sens du spectaculaire : de quoi séduire grands et petits, tous prêts à l'abordage. »
Aurélien Ferenczi, Télérama
« En 1687, on savait depuis peu que la terre est ronde, mais pas encore qu'elle est toute petite, encombrée et très bruyante. Il y avait de la place pour gambader. En 1935, le cinéma n'avait pas encore la phobie de l'espace et du temps, et s'y attaquait avec panache. De l'invention visuelle de Curtiz surgissent même, improbablement, quelques éclats picturaux et anarchistes à la Goya. »
Isabelle Potel, Libération
« Un film mythique de l'histoire du cinéma de cape et d'épée hollywoodien, combinant un scénario solide, une image soignée, le charisme virevoltant d'Errol Flynn et la mise en scène extrêmement créative de Michael Curtiz. L'ensemble donne un spectacle époustouflant de grâce et d'énergie, qui retrouve la richesse des grands romans d'aventures anglo-saxons. Exotisme, suspense, sens du spectaculaire : de quoi séduire grands et petits, tous prêts à l'abordage. »
Aurélien Ferenczi, Télérama
« En 1687, on savait depuis peu que la terre est ronde, mais pas encore qu'elle est toute petite, encombrée et très bruyante. Il y avait de la place pour gambader. En 1935, le cinéma n'avait pas encore la phobie de l'espace et du temps, et s'y attaquait avec panache. De l'invention visuelle de Curtiz surgissent même, improbablement, quelques éclats picturaux et anarchistes à la Goya. »
Isabelle Potel, Libération
Séances
vendredi 18 mars à 20h30
dimanche 20 mars à 19h
mardi 22 mars à 18h30
dimanche 20 mars à 19h
mardi 22 mars à 18h30