PROGRAMMATION MAI 2008
USA, 1976, 1h40, VOSTF, interdit -16 ans
Avec Sissy Spacek, Piper Laurie, William Katt, Amy Irving
Avec Sissy Spacek, Piper Laurie, William Katt, Amy Irving
Carrie peut déplacer des objets à distance. Le jour de ses premieres règles, elle subit les moqueries de ses camarades de classe. Pour s'excuser, l'une d'elles demande à son fiancé d'inviter Carrie au bal de fin d'année. La soirée commence bien mais une mauvaise plaisanterie déclenche la colère de Carrie qui provoque une terrible vengeance.
« Comme tous les films de Brian De Palma, c’est une analyse des rapports entre le sang – quelle que soit son origine – et le sexe. Au puritanisme de la mère va correspondre le pouvoir de la fille sur les forces du mal. Sa description de l’héroïne est très réussie, passant brusquement du drame quotidien à une véritable apocalypse sanglante.Là, il délaisse les artifices de mise en scène pour une véritable peinture de l’horreur. »
André Moreau, Télérama
« (…)De Palma transcende le matériau le plus trivial par la virtuosité de sa mise en scène et de sa direction d'acteurs (Spacek et Laurie sont géniales), dans un mélange de romantisme morbide, de puritanisme anglo-saxon et de provocations latines typiques, héritées des outrances du cinéma d'horreur italien. »
Olivier Père, « Carrie », Les Inrockuptibles n° 248, le 2 février 2000, p. 40.
« De Palma goûte à nouveau au fantastique et, plus qu’une simple adaptation d’un Stephen King, offre là une réflexion flamboyante et angoissante sur l’adolescence. »
Sébastien Homer, « Carrie », L’Humanité, le 30 octobre 2003
« Comme tous les films de Brian De Palma, c’est une analyse des rapports entre le sang – quelle que soit son origine – et le sexe. Au puritanisme de la mère va correspondre le pouvoir de la fille sur les forces du mal. Sa description de l’héroïne est très réussie, passant brusquement du drame quotidien à une véritable apocalypse sanglante.Là, il délaisse les artifices de mise en scène pour une véritable peinture de l’horreur. »
André Moreau, Télérama
« (…)De Palma transcende le matériau le plus trivial par la virtuosité de sa mise en scène et de sa direction d'acteurs (Spacek et Laurie sont géniales), dans un mélange de romantisme morbide, de puritanisme anglo-saxon et de provocations latines typiques, héritées des outrances du cinéma d'horreur italien. »
Olivier Père, « Carrie », Les Inrockuptibles n° 248, le 2 février 2000, p. 40.
« De Palma goûte à nouveau au fantastique et, plus qu’une simple adaptation d’un Stephen King, offre là une réflexion flamboyante et angoissante sur l’adolescence. »
Sébastien Homer, « Carrie », L’Humanité, le 30 octobre 2003
SEANCES
Mercredi 14 mai à 19h
Vendredi 16 mai à 20h
Samedi 17 mai à 22h
Vendredi 16 mai à 20h
Samedi 17 mai à 22h