PROGRAMMATION FÉVRIER 2007
Japon, 2001, 1h45, VOSTF
Avec Riki Takeuchi, Show Aikawa, Susumu Terajima, Renji Ishibashi
Avec Riki Takeuchi, Show Aikawa, Susumu Terajima, Renji Ishibashi
Jojima est un policier qui s'est fixé comme but de mettre fin aux activités du truand Ryuichi. Mais quand il voit que le seul moyen de sauver sa fille, atteinte d'une maladie mortelle, est de réclamer l'aide d'un caïd yakuza afin de payer l'opération, Jojima n'hésite pas et pactise avec l'ennemi. De son côté, Ryuichi a également des problèmes familiaux : son petit frère, de retour des Etats-Unis où il était parti étudier, réalise soudainement que l'argent qui a financé sa formation provient d'actions criminelles. La tension et la rage vont aller crescendo...
« Si DOA est passé à la postérité, c’est bien grâce à une scène d’ouverture de cinq minutes frôlant l’abstraction la plus totale et un final qui déroge à toutes les règles habituelles du genre. Mais DOA ne se résume pas pour autant qu’à ces deux morceaux de bravoure. Le film est avant tout un polar offrant une confrontation entre un policier et un gangster qui souffrent tous les deux de problèmes familiaux. C’est aussi un film qui, à la manière des Affranchis de Shinjuku (le deuxième film cinéma de Miike), oppose Japonais et Chinois. Mais au contraire de certains de ses compatriotes qui voient encore d’un sale œil l’arrivée d’étrangers sur la "terre sacrée du Japon", Miike regarde tout cela avec un œil ouvert. »
Extrait du dossier de presse
« Si DOA est passé à la postérité, c’est bien grâce à une scène d’ouverture de cinq minutes frôlant l’abstraction la plus totale et un final qui déroge à toutes les règles habituelles du genre. Mais DOA ne se résume pas pour autant qu’à ces deux morceaux de bravoure. Le film est avant tout un polar offrant une confrontation entre un policier et un gangster qui souffrent tous les deux de problèmes familiaux. C’est aussi un film qui, à la manière des Affranchis de Shinjuku (le deuxième film cinéma de Miike), oppose Japonais et Chinois. Mais au contraire de certains de ses compatriotes qui voient encore d’un sale œil l’arrivée d’étrangers sur la "terre sacrée du Japon", Miike regarde tout cela avec un œil ouvert. »
Extrait du dossier de presse
SEANCES
mercredi 21 février à 20h30
samedi 24 février à 22h
samedi 24 février à 22h