PROGRAMMATION NOVEMBRE 2008
Canada, 2008, 1h35min, VOSTF
Avec Isabella Rossellini, Gretchen Krich, Sullivan Brown, Todd Lawson
Avec Isabella Rossellini, Gretchen Krich, Sullivan Brown, Todd Lawson
Guy Maddin passe sa jeunesse en compagnie de sa soeur adolescente, sur l'île mystérieuse dont il héritera un jour. Ils partagent cet endroit avec une horde d'orphelins vivant en communauté dans le phare, qui fait office d'orphelinat. Chacun de leur geste est rigoureusement surveillé par la mère dominatrice et tyrannique de Guy, depuis le sommet du phare, pendant que son père, un scientifique et inventeur, travaille de jour comme de nuit dans le plus grand secret, au sous-sol...
« (...) le film demeure un savoureux objet humoreux et décousu, qui comme le déclare Maddin est littéralement une histoire vraie, mais en beaucoup mieux. »
Thierry Méranger, Les Cahiers du Cinéma
« Cela tient de l'expérience sensorielle, du spectacle vivant, du cinéma muet bien sûr, c'est un vrai truc de fêlé, comme les aiment ceux qui les aiment, déraisonnablement. »
Pascal Mérigeau, Le Nouvel Observateur
« Plus qu'à son contenu, la réussite du film tient à son mode de narration. Elle doit beaucoup à la musique (...) Et à l'humour noir qui la sous-tend, et qui lui confère un degré de liberté supplémentaire. »
Isabelle Regnier, Le Monde
« Les films de Maddin n'appartiennent à aucun genre, à aucune école. Et s'il arrive parfois, comme ici, de penser fugacement à d'autres (Laughton ou Murnau), le film esquive toujours le piège de la référence ou même de l'hommage. »
Bruno Icher, Libération
« (...) le film demeure un savoureux objet humoreux et décousu, qui comme le déclare Maddin est littéralement une histoire vraie, mais en beaucoup mieux. »
Thierry Méranger, Les Cahiers du Cinéma
« Cela tient de l'expérience sensorielle, du spectacle vivant, du cinéma muet bien sûr, c'est un vrai truc de fêlé, comme les aiment ceux qui les aiment, déraisonnablement. »
Pascal Mérigeau, Le Nouvel Observateur
« Plus qu'à son contenu, la réussite du film tient à son mode de narration. Elle doit beaucoup à la musique (...) Et à l'humour noir qui la sous-tend, et qui lui confère un degré de liberté supplémentaire. »
Isabelle Regnier, Le Monde
« Les films de Maddin n'appartiennent à aucun genre, à aucune école. Et s'il arrive parfois, comme ici, de penser fugacement à d'autres (Laughton ou Murnau), le film esquive toujours le piège de la référence ou même de l'hommage. »
Bruno Icher, Libération
SEANCES
Vendredi 7 novembre à 18h30
Samedi 8 novembre à 21h15
Vendredi 14 novembre à 18h30
Samedi 15 novembre à 19h
SORTIE NATIONALE
Samedi 8 novembre à 21h15
Vendredi 14 novembre à 18h30
Samedi 15 novembre à 19h
SORTIE NATIONALE