PROGRAMMATION MAI 2005
France, 1966, 1h35
avec Marina Vlady, Annie Duperey, Joseph Gerhard
avec Marina Vlady, Annie Duperey, Joseph Gerhard
Elle, c’est la région parisienne avec ses grands ensembles et le malaise qui l’étreint. Juliette n’en est qu’un simple témoin parmi d’autres…
« Fragmentation organisée du récit, collage dévastateur d’images, de séquences, de confessions face à la caméra attentive de Raoul Coutard…Deux ou Trois Choses que je sais d’elle est une des plus parfaites expressions du cinéma désordonné, subjectif, irritant, confus, nombriliste, mais aussi surprenant, sincère, lumineux, dérangeant, novateur, que Jean-Luc Godard prône maintenant depuis près de quarante ans. Derrière le brûlot anarchique, la dénonciation des mensonges que l’art cinématographique dominant entretient à travers ses fictions, le cinéaste impose sa vision dédramatisée et perturbante de la région parisienne : « grand bordel » qui fait de chacun de nous un prostitué (de son patron, de la publicité, des grands ensembles, de son mode de vie…). »
Gérard Camy, Télérama
« Fragmentation organisée du récit, collage dévastateur d’images, de séquences, de confessions face à la caméra attentive de Raoul Coutard…Deux ou Trois Choses que je sais d’elle est une des plus parfaites expressions du cinéma désordonné, subjectif, irritant, confus, nombriliste, mais aussi surprenant, sincère, lumineux, dérangeant, novateur, que Jean-Luc Godard prône maintenant depuis près de quarante ans. Derrière le brûlot anarchique, la dénonciation des mensonges que l’art cinématographique dominant entretient à travers ses fictions, le cinéaste impose sa vision dédramatisée et perturbante de la région parisienne : « grand bordel » qui fait de chacun de nous un prostitué (de son patron, de la publicité, des grands ensembles, de son mode de vie…). »
Gérard Camy, Télérama
SEANCES
dimanche 22 mai à 20h30
mercredi 25 mai à 18h30
samedi 28 mai à 22h
mercredi 25 mai à 18h30
samedi 28 mai à 22h