PROGRAMMATION FÉVRIER 2008
USA, 2003, 1h17, VOSTF, documentaire
Premier épisode de la série consacrée au blues qu’a produite Martin Scorsese, le film suit les pas du musicien Corey Harris, parti au Mali à la recherche des racines du blues. Sa quête le mène ensuite dans le Mississippi, berceau de cette musique.
« J’ai toujours ressenti une profonde affinité pour le blues. La culture qui raconte des histoires par la musique me fascine et me séduit énormément. Le blues a une grande résonance émotionnelle, cette musique est le fondement de la musique populaire américaine. »
Martin Scorsese
« Martin Scorsese, qui n'a jamais caché sa passion pour la musique populaire américaine, retourne aux sources et parraine une série de sept films sur le blues. Il en a réalisé cet unique segment, qui est peut-être le plus essentiel. »
Vincent Ostria, L’Humanité
« D'un film-monument sur la musique populaire américaine, Scorsese fait un ouvrage d'une grande mélancolie. Cette tristesse mêlée de joie ne naît pas uniquement des mélopées chantées par ces noirs du "Sud du Sud", comme le nomme l'écrivain Richard Ford, mais aussi de voir le temps exercer sa puissance destructrice. D'où l'intensité de ce tableau, qui a quelque chose de tragique. »
Manuel Merlet, fluctuat.net
« J’ai toujours ressenti une profonde affinité pour le blues. La culture qui raconte des histoires par la musique me fascine et me séduit énormément. Le blues a une grande résonance émotionnelle, cette musique est le fondement de la musique populaire américaine. »
Martin Scorsese
« Martin Scorsese, qui n'a jamais caché sa passion pour la musique populaire américaine, retourne aux sources et parraine une série de sept films sur le blues. Il en a réalisé cet unique segment, qui est peut-être le plus essentiel. »
Vincent Ostria, L’Humanité
« D'un film-monument sur la musique populaire américaine, Scorsese fait un ouvrage d'une grande mélancolie. Cette tristesse mêlée de joie ne naît pas uniquement des mélopées chantées par ces noirs du "Sud du Sud", comme le nomme l'écrivain Richard Ford, mais aussi de voir le temps exercer sa puissance destructrice. D'où l'intensité de ce tableau, qui a quelque chose de tragique. »
Manuel Merlet, fluctuat.net
SEANCES
Jeudi 28 février à 21h
Vendredi 29 février à 18h30
Vendredi 29 février à 18h30