PROGRAMMATION AVRIL 2005
Soirée de courts métrages
TOUT DOIT DISPARAITRE
de Jean-Marc Moutout
France, 1996, 14 min
Un jeune homme sans emploi se présente à l’aube au guichet d’une société d’intérim. Il n’est pas le premier mais aucun ne sait s’il y aura du travail ce matin. Notre personnage a la chance d’être choisi avec deux autres, embauchés pour quelques heures par une société de déménagement. Déménagement forcé : un appartement est vidé, une famille se retrouve à la rue et ces hommes, qui pour gagner leur pain, deviennent complices de cet ordre. Le lendemain matin, ils se retrouveront devant le même guichet. Ont-ils vraiment le choix ?
France, 1996, 14 min
Un jeune homme sans emploi se présente à l’aube au guichet d’une société d’intérim. Il n’est pas le premier mais aucun ne sait s’il y aura du travail ce matin. Notre personnage a la chance d’être choisi avec deux autres, embauchés pour quelques heures par une société de déménagement. Déménagement forcé : un appartement est vidé, une famille se retrouve à la rue et ces hommes, qui pour gagner leur pain, deviennent complices de cet ordre. Le lendemain matin, ils se retrouveront devant le même guichet. Ont-ils vraiment le choix ?
ELECTRONS STATIQUES
de Jean-Marc Moutout
France, 1998, 26 min
Après un contrat à durée déterminée comme magasinier, Philippe se retrouve au chômage. Ses journées s’écoulent monotones entre l’ANPE, les repas chez ses parents et ses virées nocturnes dans Paris avec un copain.
Procédant par de petites touches, ce court métrage pessimiste et désabusé dépeint la cruauté d’une société qui n’offre pas d’espoir. A travers cette recherche d’emploi, filmée dans sa quotidienneté la plus banale, le réalisateur dénonce la solitude et l’exclusion qui frappent le chômeur.
France, 1998, 26 min
Après un contrat à durée déterminée comme magasinier, Philippe se retrouve au chômage. Ses journées s’écoulent monotones entre l’ANPE, les repas chez ses parents et ses virées nocturnes dans Paris avec un copain.
Procédant par de petites touches, ce court métrage pessimiste et désabusé dépeint la cruauté d’une société qui n’offre pas d’espoir. A travers cette recherche d’emploi, filmée dans sa quotidienneté la plus banale, le réalisateur dénonce la solitude et l’exclusion qui frappent le chômeur.
SEULE
de Erick Zonca
France, 1996, 34 min
Amélie travaille dans un restaurant. Un jour son patron la licencie mettant en cause sa tenue "inorthodoxe" et sa façon de parler. Seule, Amélie bascule dans la marginalité.
France, 1996, 34 min
Amélie travaille dans un restaurant. Un jour son patron la licencie mettant en cause sa tenue "inorthodoxe" et sa façon de parler. Seule, Amélie bascule dans la marginalité.
SEANCE
Jeudi 7 avril à 20h30