PROGRAMMATION FÉVRIER 2010
USA, 1954, 1h57, VOSTF
Avec Grace Kelly, James Stewart, Wendell Corey, Thelma Ritter, Raymond Burr
Avec Grace Kelly, James Stewart, Wendell Corey, Thelma Ritter, Raymond Burr
Un reporter immobilisé par un plâtre observe de sa fenêtre les allées et venues de ses voisins. Le comportement bizarre d'un représentant de commerce l'intrigue à un point tel qu'il le croit meurtrier de sa femme. Avec sa mise en scène construite autour de la mise en abyme, Hitchcock livre une réflexion voyeuriste sur l’amour et sur le cinéma.
« En opposition à la noirceur représentant les forces du mal, Hitchcock envoie près du héros une "envoyée céleste" en la personne de Grace Kelly. Dans ce film, tout comme l'année suivante dans La Main au collet, elle permet au héros de se débarrasser de son vice, de régler ses conflits, de s'accepter. Présence apaisante, à la fois douce et forte, elle s'immerge complètement dans la vie de l'homme qu'elle aime et l'amène au salut. Ici, elle ira ainsi fouiller l'appartement de Thorwald à la recherche d'indices, se mettant en danger. Tandis que nous assistons, impuissants, au retour de l'homme chez lui, le baroudeur James Stewart aura un déclic. Elle n'est pas celle qu'elle paraissait, elle le bluffe par son courage et sa volonté. La vision à travers la vitre semble offrir une nouvelle réalité, l'écran devient un miroir déformant. »
Marlène Weil-Masson, Film culte
« En opposition à la noirceur représentant les forces du mal, Hitchcock envoie près du héros une "envoyée céleste" en la personne de Grace Kelly. Dans ce film, tout comme l'année suivante dans La Main au collet, elle permet au héros de se débarrasser de son vice, de régler ses conflits, de s'accepter. Présence apaisante, à la fois douce et forte, elle s'immerge complètement dans la vie de l'homme qu'elle aime et l'amène au salut. Ici, elle ira ainsi fouiller l'appartement de Thorwald à la recherche d'indices, se mettant en danger. Tandis que nous assistons, impuissants, au retour de l'homme chez lui, le baroudeur James Stewart aura un déclic. Elle n'est pas celle qu'elle paraissait, elle le bluffe par son courage et sa volonté. La vision à travers la vitre semble offrir une nouvelle réalité, l'écran devient un miroir déformant. »
Marlène Weil-Masson, Film culte
SEANCES
Vendredi 5 février à 21h
Samedi 6 février à 17h
Dimanche 7 février à 16h
Samedi 6 février à 17h
Dimanche 7 février à 16h