USA, 1931, 1h11, VOSTF
Collège au Cinéma 2024/25 - 2e trimestre - 6e/5e
Pour revenir à la page d'accueil Collège au Cinéma, cliquez ici
Voir tout en bas de l'article pour les ressources à consulter en ligne ou à télécharger.
Collège au Cinéma 2024/25 - 2e trimestre - 6e/5e
Pour revenir à la page d'accueil Collège au Cinéma, cliquez ici
Voir tout en bas de l'article pour les ressources à consulter en ligne ou à télécharger.
Persuadé qu'il est capable de rivaliser avec la puissance divine, le docteur Henry Frankenstein décide, assisté de son
valet bossu, Fritz, de façonner une créature humaine à partir d'organes et de membres épars recueillis dans les cimetières. Il s'aide de l'électricité tirée de la foudre pour animer son monstre. Mais celui-ci, malencontreusement pourvu du cerveau d'un criminel, se montre très violent. Lorsqu'il tue la petite Maria, les villageois se soulèvent et décident d'annuler les festivités données en l'honneur du mariage de Frankenstein avec Elizabeth. A présent, ils n'ont qu'une idée : arrêter le monstre avant qu'il ne commette d'autres crimes.
Sans nul doute la version de Frankenstein et de sa créature la plus mémorable et la plus ancrée dans la culture populaire, et qui fit de Boris Karloff, acteur jusqu’alors inconnu malgré ses quelque soixante-dix films tournés auparavant, une véritable icône du cinéma fantastique américain.
" Près de 80 ans nous séparent la sortie de Frankenstein, 80 ans pendant lesquels la créature impie et tragique façonnée par le scientifique fou a profondément marqué autant l’imagerie du fantastique que l’imaginaire collectif. Mais si le maquillage éternellement reconnaissable dû à Jack Pierce a traversé un siècle de cinéma sans prendre une ride, redécouvrir Frankenstein aujourd’hui permet de se rendre compte à quel point, par l’utilisation qu’il a fait de ses références - et de celle de son prédécesseur au fauteuil de réalisateur Robert Florey - le réalisateur James Whale a profondément codifié l’univers du fantastique à venir."
Vincent Avenel, "Monstre Sacré", www.critikat.com
valet bossu, Fritz, de façonner une créature humaine à partir d'organes et de membres épars recueillis dans les cimetières. Il s'aide de l'électricité tirée de la foudre pour animer son monstre. Mais celui-ci, malencontreusement pourvu du cerveau d'un criminel, se montre très violent. Lorsqu'il tue la petite Maria, les villageois se soulèvent et décident d'annuler les festivités données en l'honneur du mariage de Frankenstein avec Elizabeth. A présent, ils n'ont qu'une idée : arrêter le monstre avant qu'il ne commette d'autres crimes.
Sans nul doute la version de Frankenstein et de sa créature la plus mémorable et la plus ancrée dans la culture populaire, et qui fit de Boris Karloff, acteur jusqu’alors inconnu malgré ses quelque soixante-dix films tournés auparavant, une véritable icône du cinéma fantastique américain.
" Près de 80 ans nous séparent la sortie de Frankenstein, 80 ans pendant lesquels la créature impie et tragique façonnée par le scientifique fou a profondément marqué autant l’imagerie du fantastique que l’imaginaire collectif. Mais si le maquillage éternellement reconnaissable dû à Jack Pierce a traversé un siècle de cinéma sans prendre une ride, redécouvrir Frankenstein aujourd’hui permet de se rendre compte à quel point, par l’utilisation qu’il a fait de ses références - et de celle de son prédécesseur au fauteuil de réalisateur Robert Florey - le réalisateur James Whale a profondément codifié l’univers du fantastique à venir."
Vincent Avenel, "Monstre Sacré", www.critikat.com