PROGRAMMATION NOVEMBRE 2007
Japon, 1962-88, 47 min, animation
HISTOIRES DU COIN DE LA RUE
1962, 38 min
Dans une ruelle où les affiches sont dotées d’une vie propre et collective, une petite fille a laissé tomber son ourson sur la gouttière du toit et une colonie de souris n’en fait qu’à sa tête. Le tout s’achève dans un étrange chaos.
Ce moyen métrage aux tonalités à la fois enfantines et graves a été créé par l’un des animateurs du “Serpent blanc” (Samamoto Yusaku) et par le futur réalisateur de ”Léo, roi de la jungle” version 1997 (Yamamoto Eiichi) sur un scénario de Tezuka. Peut-être une manière pour lui de faire comprendre, sans un mot, sa frustration de ne pouvoir créer librement, muselé par les contraintes des grandes sociétés de production.
Dans une ruelle où les affiches sont dotées d’une vie propre et collective, une petite fille a laissé tomber son ourson sur la gouttière du toit et une colonie de souris n’en fait qu’à sa tête. Le tout s’achève dans un étrange chaos.
Ce moyen métrage aux tonalités à la fois enfantines et graves a été créé par l’un des animateurs du “Serpent blanc” (Samamoto Yusaku) et par le futur réalisateur de ”Léo, roi de la jungle” version 1997 (Yamamoto Eiichi) sur un scénario de Tezuka. Peut-être une manière pour lui de faire comprendre, sans un mot, sa frustration de ne pouvoir créer librement, muselé par les contraintes des grandes sociétés de production.
AUTOPORTRAIT
1988, 13 secondes
Osamu Tezuka transforme son visage en machine à sous. Il subit une multitude de transformations aussi rapides qu’insolites.
Dix-neuf animateurs de cinq pays différents ont été sollicités pour réaliser des courts métrages d’animation mettant en scène leurs propres visages. Ces films étaient destinés à être projetés dans les festivals de cinéma d’animation des différents pays représentés. Tezuka a répondu à l’appel en réalisant ”Self Portrait” qui sera également sa dernière oeuvre expérimentale.
Osamu Tezuka transforme son visage en machine à sous. Il subit une multitude de transformations aussi rapides qu’insolites.
Dix-neuf animateurs de cinq pays différents ont été sollicités pour réaliser des courts métrages d’animation mettant en scène leurs propres visages. Ces films étaient destinés à être projetés dans les festivals de cinéma d’animation des différents pays représentés. Tezuka a répondu à l’appel en réalisant ”Self Portrait” qui sera également sa dernière oeuvre expérimentale.
LA SIRÈNE
1964, 8 min
Une jeune sirène et un pêcheur tombent amoureux. Leur passion les entraîne dans des mondes merveilleux. Mais, bien vite, la jalousie des hommes devient une entrave à leur idylle…
Un film complètement différent par le design des ses personnages filiformes. Ici, un jeune pêcheur tombe amoureux d’une sirène. Hélas une société répressive lui fera passer le goût du pain, électrochocs à l’appui. Un film original, d’une effroyable lucidité.
"Monsieur Tezuka était de ceux dont le destin est de nous montrer le chemin. Il était extraordinairement altruiste et talentueux. La valeur d'un film comme Painting at an Exhibition est inestimable. Monsieur Tezuka, du fond du coeur, je veux vous dire : merci."René Laloux
Une jeune sirène et un pêcheur tombent amoureux. Leur passion les entraîne dans des mondes merveilleux. Mais, bien vite, la jalousie des hommes devient une entrave à leur idylle…
Un film complètement différent par le design des ses personnages filiformes. Ici, un jeune pêcheur tombe amoureux d’une sirène. Hélas une société répressive lui fera passer le goût du pain, électrochocs à l’appui. Un film original, d’une effroyable lucidité.
"Monsieur Tezuka était de ceux dont le destin est de nous montrer le chemin. Il était extraordinairement altruiste et talentueux. La valeur d'un film comme Painting at an Exhibition est inestimable. Monsieur Tezuka, du fond du coeur, je veux vous dire : merci."René Laloux
SEANCES
Jeudi 1er novembre à 14h30
Samedi 3 novembre à 16h
Mardi 6 novembre à 15h
Samedi 3 novembre à 16h
Mardi 6 novembre à 15h