PROGRAMMATION JUIN-JUILLET 2006
USA, 1982, 2h02, VOSTF
Avec Verna Bloom, Kyle Eastwood, John Mac Intire
Avec Verna Bloom, Kyle Eastwood, John Mac Intire
Red Stoval, guitariste alcoolique, s’engage sur la route de Nashville pour participer à une audition du Grand Ole Opry. Pour le chaperonner, un grand-père nostalgique et deux adolescents voulant échapper à la dépression des années 30. Dans une ambiance de western musical, le film se place comme hommage aux dix premières années de la vie du réalisateur, marquées par la grande dépression et son refuge dans le blues.
" Le roman de Clancy Carlile m’avait été recommandé par un ami. Lorsque je l’ai lu, j’y ai trouvé la matière d’un film original. Les rapports entre Red Stovall et son neveu,Whit,m’ont particulièrement intéressé, et également le fait qu’une grande partie de l’action se déroulait sur les routes d’Amérique. J’ai aimé l’évocation de la Dépression et la façon dont la musique country intervenait pour relier tous les éléments de ce récit.
HONKYTONK MAN ne pouvait se conclure ailleurs qu’à Nashville, au «Grand Ole Opry».Toute la tradition de la «country» est ancrée dans ce vénérable bâtiment, et c’est une ambiance qu’on ne peut recréer ailleurs.
En dehors de l’authenticité qu’amène le tournage dans de tels lieux, il y a, bien sûr, un travail très important sur la bande son.
Le «son» country donne à HONKYTONK MAN son rythme et joue un rôle fondamental.Nous avons engagé certains des artistes les plus représentatifs de cette école pour interpréter des chansons ou apparaître devant la caméra.
J’ai voulu que l’accompagnement musical soit authentique et qu’il puisse également plaire au public actuel. Snuff Garrett,
qui avait produit les albums de BRONCO BILLY, DOUX, DUR ET DINGUE et çA VA COGNER, a sélectionné la plupart des artistes
de HONKYTONK MAN et a cherché avec eux à marier leur style à celui des années trente.
Nous avons ainsi pu travailler avec Porter Wagoner (qui interprète «Turn the Pencil OVER»). MARTY ROBBINS (chanson du générique et «In the Jailhouse Now»), Linda Hopkins («When the Blues Come Around This Time»), Ray Price («San Antonio Rose») et John Andersen («The Cotton Patch Blues»). " Clint Eastwood
" Le roman de Clancy Carlile m’avait été recommandé par un ami. Lorsque je l’ai lu, j’y ai trouvé la matière d’un film original. Les rapports entre Red Stovall et son neveu,Whit,m’ont particulièrement intéressé, et également le fait qu’une grande partie de l’action se déroulait sur les routes d’Amérique. J’ai aimé l’évocation de la Dépression et la façon dont la musique country intervenait pour relier tous les éléments de ce récit.
HONKYTONK MAN ne pouvait se conclure ailleurs qu’à Nashville, au «Grand Ole Opry».Toute la tradition de la «country» est ancrée dans ce vénérable bâtiment, et c’est une ambiance qu’on ne peut recréer ailleurs.
En dehors de l’authenticité qu’amène le tournage dans de tels lieux, il y a, bien sûr, un travail très important sur la bande son.
Le «son» country donne à HONKYTONK MAN son rythme et joue un rôle fondamental.Nous avons engagé certains des artistes les plus représentatifs de cette école pour interpréter des chansons ou apparaître devant la caméra.
J’ai voulu que l’accompagnement musical soit authentique et qu’il puisse également plaire au public actuel. Snuff Garrett,
qui avait produit les albums de BRONCO BILLY, DOUX, DUR ET DINGUE et çA VA COGNER, a sélectionné la plupart des artistes
de HONKYTONK MAN et a cherché avec eux à marier leur style à celui des années trente.
Nous avons ainsi pu travailler avec Porter Wagoner (qui interprète «Turn the Pencil OVER»). MARTY ROBBINS (chanson du générique et «In the Jailhouse Now»), Linda Hopkins («When the Blues Come Around This Time»), Ray Price («San Antonio Rose») et John Andersen («The Cotton Patch Blues»). " Clint Eastwood
SEANCES
vendredi 23 juin à 19h30
dimanche 25 juin à 17h
jeudi 29 juin à 21h
samedi 1er juillet à 19h30
dimanche 25 juin à 17h
jeudi 29 juin à 21h
samedi 1er juillet à 19h30