PROGRAMMATION JUIN-JUILLET 2010
Palestine, 2002, 1h32, VOSTF
Avec Elia Suleiman, Manal Khader, Nayef Fahoum Daher
Avec Elia Suleiman, Manal Khader, Nayef Fahoum Daher
Un jeune homme palestinien vivant à Jérusalem ne peut rejoindre son amante bloquée à Ramallah par l'armée israëlienne. Les deux amants s'inventent un monde imaginaire pour échapper à la guerre... Entre Jacques Tati et Buster Keaton, Elia Suleiman convoque l’humour pour parler de la guerre.
« Ni artisanat local au cachet d'authenticité, ni world cinema dilué dans la pure forme, ses films, et celui-ci par excellence, sont pareils à des soupapes. L'intervention divine que son titre réclame est en fait un cri déchirant, mais glacé par un humour qui mieux que jamais peut être ici appelé par son autre nom la politesse du désespoir »
François Gorin, Télérama
« Ce recours systématique au gag et à l'observation ô combien distanciée de la gravité des choses est un dandysme de résistance. Nous sommes entre Jacques Tati, Buster Keaton et Astérix en Corse, dans une version épurée de Chronique d'une disparition, portée par une parfaite maîtrise de l'espace et des enchaînements. »
Frédéric Bonnaud, Les Inrockuptibles
« Il est banal de dire que Suleiman combat avec ses armes, celles du cinéma. On sera donc banal. Si la Palestine n’existe pas, son film l’invente l’air de rien. Les espaces y sont sévèrement séparés, mais il chante en sourdine les louanges de l’imaginaire comme territoire partagé. »
Erwan Higuinen, Les Cahiers du cinéma
« Ni artisanat local au cachet d'authenticité, ni world cinema dilué dans la pure forme, ses films, et celui-ci par excellence, sont pareils à des soupapes. L'intervention divine que son titre réclame est en fait un cri déchirant, mais glacé par un humour qui mieux que jamais peut être ici appelé par son autre nom la politesse du désespoir »
François Gorin, Télérama
« Ce recours systématique au gag et à l'observation ô combien distanciée de la gravité des choses est un dandysme de résistance. Nous sommes entre Jacques Tati, Buster Keaton et Astérix en Corse, dans une version épurée de Chronique d'une disparition, portée par une parfaite maîtrise de l'espace et des enchaînements. »
Frédéric Bonnaud, Les Inrockuptibles
« Il est banal de dire que Suleiman combat avec ses armes, celles du cinéma. On sera donc banal. Si la Palestine n’existe pas, son film l’invente l’air de rien. Les espaces y sont sévèrement séparés, mais il chante en sourdine les louanges de l’imaginaire comme territoire partagé. »
Erwan Higuinen, Les Cahiers du cinéma
Séances
Jeudi 1er juillet à 21h
Samedi 3 juillet à 18h15
Dimanche 4 juillet à 21h
Samedi 3 juillet à 18h15
Dimanche 4 juillet à 21h