PROGRAMMATION MAI 2011
GB, 1965, 1h49, VOSTF
avec Michael Caine, Nigel Green, Guy Doleman, Sue Llyod
RÉÉDITION
avec Michael Caine, Nigel Green, Guy Doleman, Sue Llyod
RÉÉDITION
Agent des services secrets militaires britanniques, Harry Palmer rejoint le service de contre-espionnage. Il enquête sur l'enlèvement d'un prestigieux scientifique et ne tarde pas à mettre la main sur une bande magnétique intitulée IPCRESS sur laquelle sont enregistrés d’étranges sons... Premier d'une série de trois films d'espionnage dans lesquels Michael Caine incarne l'espion Harry Palmer, sorte d’anti-James Bond.
« « Dans ce boulot, on fait autant d'écriture que de marche à pied », explique un espion, obligé de remplir formulaire sur formulaire... Paperasses administratives, querelles hiérarchiques, interminables réunions... : c'est moins de l'espionnage que du travail de bureau !
Création du romancier Len Deighton, Harry Palmer est bien l'anti-James Bond. Myope comme une taupe, d'une moralité douteuse, il ne fait craquer les femmes que par ses talents... culinaires ! On pense aux romans de John Le Carré, tant le film s'acharne à gommer le spectaculaire. La mise en scène, très astucieuse, s'attache plus aux objets qu'aux personnages, laissant volontairement bagarres et poursuites hors champ. Il règne une ironie très britannique tout à fait réjouissante. Michael Caine s'en donne à coeur joie. »
Aurélien Ferenczi, Télérama
« « Dans ce boulot, on fait autant d'écriture que de marche à pied », explique un espion, obligé de remplir formulaire sur formulaire... Paperasses administratives, querelles hiérarchiques, interminables réunions... : c'est moins de l'espionnage que du travail de bureau !
Création du romancier Len Deighton, Harry Palmer est bien l'anti-James Bond. Myope comme une taupe, d'une moralité douteuse, il ne fait craquer les femmes que par ses talents... culinaires ! On pense aux romans de John Le Carré, tant le film s'acharne à gommer le spectaculaire. La mise en scène, très astucieuse, s'attache plus aux objets qu'aux personnages, laissant volontairement bagarres et poursuites hors champ. Il règne une ironie très britannique tout à fait réjouissante. Michael Caine s'en donne à coeur joie. »
Aurélien Ferenczi, Télérama
Séances
jeudi 19 mai à 21h
samedi 21 mai à 18h
dimanche 22 mai à 19h
samedi 21 mai à 18h
dimanche 22 mai à 19h