PROGRAMMATION FÉVRIER 2005
USA, 1995, 1h40, VOSTF, int -12 ans
avec David Caruso, Nicolas Cage
avec David Caruso, Nicolas Cage
Un petit gangster, Jimmy, se fait pincer pour un coup foireux. En prison, la justice lui propose un marché : sa liberté contre le nom de ses complices…
« Calqué sur Le carrefour de la mort de Henry Hathaway (1947), le film de Barbet Schroeder n’est pas un remake ordinaire. Le scénario de Richard Price prend le parti du réalisme. Pendant la première moitié du film, le cinéaste et ses acteurs tiennent leur tempo. On déguste un bon polar de série. »
François Gorin (Télérama)
« On peut interpréter Kiss of death comme une réflexion sur le scénario américain et sur ses clichés contre lesquels les personnages se rebellent en permanence. Schroeder est encore une fois très à l’aise avec les comédiens, David Caruso est très bon en « victime active », Nicolas Cage ne l’est pas moins en voyou paumé, complexé et brutal. Mais le regard de Schroeder est peut être à chercher du côté du personnage de Samuel L. Jackson, flic ambigu, blessé au visage par Jimmy. Son oeil pleure en permanence, peut être devant les ruines d’un genre que Schroeder n’arrive pas à recréer. »
Nicolas Saada (Les Cahiers du Cinéma)
« Calqué sur Le carrefour de la mort de Henry Hathaway (1947), le film de Barbet Schroeder n’est pas un remake ordinaire. Le scénario de Richard Price prend le parti du réalisme. Pendant la première moitié du film, le cinéaste et ses acteurs tiennent leur tempo. On déguste un bon polar de série. »
François Gorin (Télérama)
« On peut interpréter Kiss of death comme une réflexion sur le scénario américain et sur ses clichés contre lesquels les personnages se rebellent en permanence. Schroeder est encore une fois très à l’aise avec les comédiens, David Caruso est très bon en « victime active », Nicolas Cage ne l’est pas moins en voyou paumé, complexé et brutal. Mais le regard de Schroeder est peut être à chercher du côté du personnage de Samuel L. Jackson, flic ambigu, blessé au visage par Jimmy. Son oeil pleure en permanence, peut être devant les ruines d’un genre que Schroeder n’arrive pas à recréer. »
Nicolas Saada (Les Cahiers du Cinéma)
SEANCES
vendredi 18 février à 20h30
dimanche 20 février à 14h30
lundi 21 février à 20h30
dimanche 20 février à 14h30
lundi 21 février à 20h30