de Elio Petri
Italie, 1961, 1h38, VOSTF
Avec Marcello Mastroianni, Micheline Presle, Cristina Gaioni
Italie, 1961, 1h38, VOSTF
Avec Marcello Mastroianni, Micheline Presle, Cristina Gaioni
Alfredo Martelli, un antiquaire romain, est arrêté à son domicile et emmené au commissariat. En attendant d’être interrogé, il se demande ce que lui veut la police et se souvient, par épisodes, de son attitude peu scrupuleuse à divers moments de sa vie. Enfin reçu par le commissaire, Martelli apprend que son ancienne maîtresse a été retrouvée morte. Les autorités sont persuadées qu’il est l’assassin. Accablé par les preuves, l’antiquaire sent peser sur lui le poids de la culpabilité...
"J’ai toujours essayé de faire vivre selon une méthode existentialiste la situation d’un personnage dans laquelle se reflètent ses contradictions intérieures, sa conscience d’être un objet face aux sujets de l’autorité. L’Assassin était un film post-antonionien, sur un personnage aliéné, un film sur l’incommunicabilité. Parallèlement, je cherchais à introduire un discours sur la police et les rapports de type kafkaïen avec l’autorité. En Italie, et partout dans le monde, du moment que vous êtes face à l’autorité, vous êtes coupable." Elio Petri
"J’ai toujours essayé de faire vivre selon une méthode existentialiste la situation d’un personnage dans laquelle se reflètent ses contradictions intérieures, sa conscience d’être un objet face aux sujets de l’autorité. L’Assassin était un film post-antonionien, sur un personnage aliéné, un film sur l’incommunicabilité. Parallèlement, je cherchais à introduire un discours sur la police et les rapports de type kafkaïen avec l’autorité. En Italie, et partout dans le monde, du moment que vous êtes face à l’autorité, vous êtes coupable." Elio Petri