PROGRAMMATION JUIN-JUILLET 2008
Japon, 1960, 1h33, VOSTF
Avec Nobuko Otowa, Taiji Tonoyama, Shinji Tanaka
Avec Nobuko Otowa, Taiji Tonoyama, Shinji Tanaka
Au Japon, sur une minuscule île de l’archipel de Setonaika, un couple vit avec ses deux jeunes enfants. La terre est aride et l'île ne possède pas de ressource en eau douce. Pour cultiver cette terre ingrate et survivre, le couple est donc obligé de faire de continuels voyages en barque entre la terre ferme et l'île : ramener l'eau précieuse et en arroser avec attention et parcimonie chacun des plants cultivés. Ces gestes renouvelés sans cesse rythment le quotidien. Les jours passent, puis les saisons. Un jour, alors que les parents sont partis chercher l'eau, un des enfant tombe malade, sans raison.
« Je voulais faire un film très créatif au niveau visuel. Raconter l’histoire avec des images. Une histoire où chaque vue exprimerait un sentiment du bonheur, de la tristesse, dans un décor naturel. »
Kaneto Shindo
« (…)Ce treizième long-métrage de Shindo se présente comme un film d’une rare beauté et d’une profonde intensité dramatique. Nous l’avons vu, ce résultat fascinant n’est pas le fruit du scénario, mais d’une mise en scène ingénieuse et profondément intelligente. »
George Kaplan, « L’île nue », www.dvdclassik.com
« Si L’île nue reste une réussite, c’est avant tout par sa forme. En effet, la photographie du film est soignée à l’extrême et le choix d’un noir et blanc volontairement contrasté renforce la poésie et la beauté intemporelle des images. »
Dimitri Ianni, « L’île nue », www.sancho-asia.com, le 5 juillet 2004
« Je voulais faire un film très créatif au niveau visuel. Raconter l’histoire avec des images. Une histoire où chaque vue exprimerait un sentiment du bonheur, de la tristesse, dans un décor naturel. »
Kaneto Shindo
« (…)Ce treizième long-métrage de Shindo se présente comme un film d’une rare beauté et d’une profonde intensité dramatique. Nous l’avons vu, ce résultat fascinant n’est pas le fruit du scénario, mais d’une mise en scène ingénieuse et profondément intelligente. »
George Kaplan, « L’île nue », www.dvdclassik.com
« Si L’île nue reste une réussite, c’est avant tout par sa forme. En effet, la photographie du film est soignée à l’extrême et le choix d’un noir et blanc volontairement contrasté renforce la poésie et la beauté intemporelle des images. »
Dimitri Ianni, « L’île nue », www.sancho-asia.com, le 5 juillet 2004
SEANCES
Mercredi 11 juin à 21h30
Vendredi 13 juin à 21h
Dimanche 15 juin à 21h
Mardi 17 juin à 21h
AVANT-PREMIÈRE
RÉÉDITION
Un texte de Nicolas Thévenin au sujet du film est consultable dans la rubrique Réflexions
Vendredi 13 juin à 21h
Dimanche 15 juin à 21h
Mardi 17 juin à 21h
AVANT-PREMIÈRE
RÉÉDITION
Un texte de Nicolas Thévenin au sujet du film est consultable dans la rubrique Réflexions