PROGRAMMATION JANVIER 2005
Japon, 1964, 2h20, VOSTF, d’après Kobo Abe
Avec Kyoko Kishida, Eiji Okada, Hiroko Ito
Avec Kyoko Kishida, Eiji Okada, Hiroko Ito
Un entomologiste est pris au piège dans une maison située au fond d'une cuvette inexorablement envahie par le sable où vit une femme seule... Entre allégorie de la société et symbole de la condition humaine, le film s’impose comme une référence marquante du cinéma japonais. Ce huis clos angoissant est servi par une mise en scène oppressante de l’absurde, où le sable est omniprésent et la sexualité prégnante.
Entre allégorie de la société et symbole de la condition humaine, le film s’impose comme une référence marquante du cinéma japonais, née d’une rencontre réussie entre le cinéaste et le Prix Nobel de littérature, Kobo Abe. Ce huis clos angoissant est servi par une mise en scène oppressante de l’absurde, où le sable est omniprésent et la sexualité prégnante.
"Dans ce film que j’ai produit et réalisé, j’ai tenté de faire se rencontrer la réalité et ce que l’on ne comprend que par les yeux. Cette histoire pourrait exister – existe – bien ailleurs. A travers elle, simplifiée à l’extrême, ce qui m’a intéressé, c’est le sable de la vie, c’est un homme, c’est une femme."
Hiroshi Teshigahara
"J’aime par-dessus tout chez Teshigahara la beauté de ses plans, la cadence de ses strophes, la musique de ses (…), l’esthétique dépouillée de cette vie à fleur de sable et à fleur de peau, la puissance incantatrice de cette litanie du sable."
Gilles Jacob
Entre allégorie de la société et symbole de la condition humaine, le film s’impose comme une référence marquante du cinéma japonais, née d’une rencontre réussie entre le cinéaste et le Prix Nobel de littérature, Kobo Abe. Ce huis clos angoissant est servi par une mise en scène oppressante de l’absurde, où le sable est omniprésent et la sexualité prégnante.
"Dans ce film que j’ai produit et réalisé, j’ai tenté de faire se rencontrer la réalité et ce que l’on ne comprend que par les yeux. Cette histoire pourrait exister – existe – bien ailleurs. A travers elle, simplifiée à l’extrême, ce qui m’a intéressé, c’est le sable de la vie, c’est un homme, c’est une femme."
Hiroshi Teshigahara
"J’aime par-dessus tout chez Teshigahara la beauté de ses plans, la cadence de ses strophes, la musique de ses (…), l’esthétique dépouillée de cette vie à fleur de sable et à fleur de peau, la puissance incantatrice de cette litanie du sable."
Gilles Jacob
SEANCES
mercredi 26 janvier à 20h30
samedi 29 janvier à 18h30
samedi 29 janvier à 18h30