PROGRAMMATION SEPTEMBRE 2008
USA, 1950, 1h32, VOSTF
Avec James Stewart, Jeff Chandler, Debra Paget, Arthur Hunnicutt, Will Geer, Basil Ruysdael
RÉÉDITION
Avec James Stewart, Jeff Chandler, Debra Paget, Arthur Hunnicutt, Will Geer, Basil Ruysdael
RÉÉDITION
Arizona 1870. La guerre fait rage entre blancs et Apaches. Ex-éclaireur pour l’armée de l’Union, Tom Jeffords sauve de la mort un jeune indien et s’attire ainsi la reconnaissance de sa tribu. Écoeuré par l’interminable inimitié qui sévit entre les deux peuples, il décide d’apprendre la langue, les mœurs, l’histoire et les coutumes apaches et de se rendre dans les montagnes afin d’y rencontrer leur chef Cochise…
« La beauté, chez Daves, n’est pas seulement la splendeur du vrai mais également celle du possible, comme si le possible faisait parti du vrai et était appelé à se réaliser, un jour ou l’autre, quelque part. L’interprétation du film est particulièrement mémorable. C’est, après guerre, le deuxième film de James Stewart (qui venait de tourner Winchester 73) comme héros de western sérieux, ici dans un rôle beaucoup plus tendre que chez Anthony Mann. C’est aussi le début de sa nouvelle et prodigieuse carrière dans ce genre. »
Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma (Laffont)
« Le slogan du film, à l’époque de sa sortie aux Etats-Unis, disait : "Le cinéma peut être fier de ce film... Aujourd’hui... Demain... A une génération de nous..." Ne s’accorder avec cette affirmation que parce que l’histoire de Sonseeahray et de Tom Jeffords est bouleversante serait facile, et ce serait surtout oublier l’hymne à la tolérance et à l’humilité que La Flèche Brisée adressait à l’Amérique d’alors, où il était toujours de bon ton de considérer tout ce qui n’était pas W.A.S.P. comme une sous-humanité. Le fait qu’Albert Maltz, scénariste du film, ait été à ce moment là déjà présent sur la liste noire du Mac Carthysme est probablement une preuve suffisante de la subversion latente qui baigne La Flèche Brisée.. »
Vincent Avenel, « La Flèche brisée», www.critikat.com
« La beauté, chez Daves, n’est pas seulement la splendeur du vrai mais également celle du possible, comme si le possible faisait parti du vrai et était appelé à se réaliser, un jour ou l’autre, quelque part. L’interprétation du film est particulièrement mémorable. C’est, après guerre, le deuxième film de James Stewart (qui venait de tourner Winchester 73) comme héros de western sérieux, ici dans un rôle beaucoup plus tendre que chez Anthony Mann. C’est aussi le début de sa nouvelle et prodigieuse carrière dans ce genre. »
Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma (Laffont)
« Le slogan du film, à l’époque de sa sortie aux Etats-Unis, disait : "Le cinéma peut être fier de ce film... Aujourd’hui... Demain... A une génération de nous..." Ne s’accorder avec cette affirmation que parce que l’histoire de Sonseeahray et de Tom Jeffords est bouleversante serait facile, et ce serait surtout oublier l’hymne à la tolérance et à l’humilité que La Flèche Brisée adressait à l’Amérique d’alors, où il était toujours de bon ton de considérer tout ce qui n’était pas W.A.S.P. comme une sous-humanité. Le fait qu’Albert Maltz, scénariste du film, ait été à ce moment là déjà présent sur la liste noire du Mac Carthysme est probablement une preuve suffisante de la subversion latente qui baigne La Flèche Brisée.. »
Vincent Avenel, « La Flèche brisée», www.critikat.com
SEANCES
Mardi 2 septembre à 19h
Vendredi 5 septembre à 21h
Dimanche 7 septembre à 19h
Lundi 8 septembre à 19h
Vendredi 5 septembre à 21h
Dimanche 7 septembre à 19h
Lundi 8 septembre à 19h