PROGRAMMATION JUIN-JUILLET 2008
USA, 1951, 1h27, VOSTF
Avec Jean Peters, Debra Paget, Louis Jourdan
Avec Jean Peters, Debra Paget, Louis Jourdan
Anne Providence est l’une des rares femmes dans un milieu avant tout masculin : celui des pirates ! Elle est capitaine d’un navire et dirige ses hommes d’une main de fer. Son maître et ami Barbe-Noire a néanmoins chargé Red Dougal de veiller sur elle. Pendant l’attaque d’un bateau britannique, elle sauve la vie d’un prisonnier, Pierre-François La Rochelle, dont elle tombe très vite amoureuse. Elle le nomme à la tête de son équipage et espère, grâce à lui trouver le trésor de Morgan. Mais Barbe-Noire est jaloux de cette influence qu’exerce ce nouveau venu sur sa protégée, et l’accuse d’être un traître. Anne prend la défense de l’homme qu’elle aime et frappe son ami de longue date. Ce dernier jure de se venger. Pendant ce temps, la flotte britannique cherche à capturer la pirate qui fait tant de ravages, Anne Providence…
« De prime abord, La Flibustière des Antilles est un magnifique film de pirates, réussissant toutes les scènes obligées du genre (abordage, chasse au trésor, flagellation, etc.). Mais on pouvait compter sur Tourneur pour doubler ce magnifique spectacle d’un aspect plus sombre, plus troublant. (…)Une pure merveille. »
Olivier Nicklaus, « La flibustière des Antilles », Les Inrockuptibles n° 538, le 21 mars 2006.
« La Flibustière des Antilles est un grand classique américain, un film de genre comme on les aime, une aventure flamboyante en technicolor de pirates non dénuée de subtilités psychologiques. Jacques Tourneur qui tournait souvent sur commandes des grands studios de cinéma américains, avait cette qualité de garder toujours une très grande vivacité d’esprit même lorsque les thèmes et le contexte des sujets proposés lui étaient totalement étrangers. »
Olivier Bombarda, « La Flibustière des Antilles », www.arte.tv/fr, le 15 d écembre 2005.
« Jacques Tourneur ne s'est pas seulement illustré dans le genre fantastique. Il a notamment donné à l'histoire du cinéma l'un des plus beaux films de pirates en réalisant en 1951 La Flibustière des Antilles. On y trouve évidemment tout ce qui convient au genre - truculence, ripaille, cruauté, aventure, flamboiement -, mais en sus une histoire d'amour très singulière. (…)La Flibustière des Antilles est une épopée mélancolique signée par un immense cinéaste. »
Jacques Mandelbaum, « La Flibustière des Antilles », Le Monde, le 3 novembre 2005.
« Le traitement sans cynisme ni malice de Tourneur, qui met cette histoire en images avec un premier degré bienvenu (le même finalement que celui qui rend ses films d'horreur si crédibles), fait de La Flibustière des Antilles un spectacle décomplexé et réjouissant. »
Erwan Desbois, « La Flibustière des Antilles », www.ecranlarge.com, le 10 novembre 2005
« De prime abord, La Flibustière des Antilles est un magnifique film de pirates, réussissant toutes les scènes obligées du genre (abordage, chasse au trésor, flagellation, etc.). Mais on pouvait compter sur Tourneur pour doubler ce magnifique spectacle d’un aspect plus sombre, plus troublant. (…)Une pure merveille. »
Olivier Nicklaus, « La flibustière des Antilles », Les Inrockuptibles n° 538, le 21 mars 2006.
« La Flibustière des Antilles est un grand classique américain, un film de genre comme on les aime, une aventure flamboyante en technicolor de pirates non dénuée de subtilités psychologiques. Jacques Tourneur qui tournait souvent sur commandes des grands studios de cinéma américains, avait cette qualité de garder toujours une très grande vivacité d’esprit même lorsque les thèmes et le contexte des sujets proposés lui étaient totalement étrangers. »
Olivier Bombarda, « La Flibustière des Antilles », www.arte.tv/fr, le 15 d écembre 2005.
« Jacques Tourneur ne s'est pas seulement illustré dans le genre fantastique. Il a notamment donné à l'histoire du cinéma l'un des plus beaux films de pirates en réalisant en 1951 La Flibustière des Antilles. On y trouve évidemment tout ce qui convient au genre - truculence, ripaille, cruauté, aventure, flamboiement -, mais en sus une histoire d'amour très singulière. (…)La Flibustière des Antilles est une épopée mélancolique signée par un immense cinéaste. »
Jacques Mandelbaum, « La Flibustière des Antilles », Le Monde, le 3 novembre 2005.
« Le traitement sans cynisme ni malice de Tourneur, qui met cette histoire en images avec un premier degré bienvenu (le même finalement que celui qui rend ses films d'horreur si crédibles), fait de La Flibustière des Antilles un spectacle décomplexé et réjouissant. »
Erwan Desbois, « La Flibustière des Antilles », www.ecranlarge.com, le 10 novembre 2005
SEANCES
Mercredi 25 juin à 15h
Samedi 28 juin à 20h
Mercredi 2 juillet à 15h
Vendredi 4 juillet à 15h
Dimanche 6 juillet à 17h
Mardi 8 juillet à 15h
Samedi 28 juin à 20h
Mercredi 2 juillet à 15h
Vendredi 4 juillet à 15h
Dimanche 6 juillet à 17h
Mardi 8 juillet à 15h