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Archives 2001-2011

LA MORT AUX TROUSSES (NORTH BY NORTHWEST)


De Alfred Hitchcock



PROGRAMMATION DÉCEMBRE 2007

USA, 1958, 2h06, VOSTF
Avec Cary Grant, Eva-Marie Saint

Le publiciste Roger Thornhill, pris pour un espion dénommé Kaplan, est enlevé par deux hommes qui essaient de le tuer. Pris entre une mystérieuse organisation qui cherche à le supprimer et la police qui le poursuit, Tornhill est dans une situation bien inconfortable. Il fuit à travers les Etats-Unis et part à la recherche d'une vérité qui se révèlera très surprenante.

« La Mort aux trousses est une course folle, littéralement. […] L’important est dans l’élan, la fuite en avant. Les scènes s’enchaînent frénétiquement, plus mémorables les unes que les autres. »
Télérama

« La Mort aux trousses fourmille en moments forts - autant de scènes d’anthologie. Outre le clou du film, la scène de l’avion dans le désert qui ne manquera pas de poser des problèmes techniques, il y a cette scène finale sur le mont Rushmore, ce symbole suprême de l’ordre établi et de la liberté. […] La Mort aux trousses, histoire aux rebondissements incessants, sera un énorme succès critique et commercial. Pour reprendre l’expression d’Hitchcock, ce film est vraiment une «tranche de gâteau», surtout par rapport au film qui va suivre, Psychose, qui lui, n’a rien d’une douce et délicieuse fantaisie! »
Dominique Auzel, Alfred Hitchcock - Les essentiels Milan

« Si Vertigo marque l’apogée de la part sombre et torturée d’Hitchcock, North by northwest, réalisé l’année suivante, est une des plus éclatantes réussites de sa face solaire, ludique, enlevée. Et pour poursuivre la comparaison/opposition, si Vertigo est le plus beau fleuron du couple Hitchcock-Stewart, North by northwest scelle le triomphe de la collaboration Hitchcock-Grant.
Le scénario de La Mort aux trousses est d’autant plus brillant et jubilatoire que ses bases sont raisonnablement improbables ! C’est bien l’un des tours de magie majeurs du grand cinéma hollywoodien que de rendre l’incroyable crédible à l’écran. Et c’est ainsi que nous allons être tenus en haleine pendant deux heures par l’histoire abracadabrante d’un publicitaire américain entraîné dans une sombre machination d’espionnage pour la seule raison qu’il est pris pour un autre. Et l’intrigue prend des allures vertigineuses lorsqu’on apprend que l’autre en question n’existe pas, qu’il est pure invention des services secrets états-uniens ! »
La gazette Utopia n°186

SEANCES

Jeudi 6 décembre à 20h30
Samedi 8 décembre à 15h30
Mercredi 12 décembre à 16h30
Samedi 15 décembre à 19h30