PROGRAMMATION MARS 2009
USA, 1958, 2h04, VOSTF
Avec Rock Hudson, Robert Stack, Dorothy Malone, Jack Carson
RÉÉDITION
Avec Rock Hudson, Robert Stack, Dorothy Malone, Jack Carson
RÉÉDITION
La ronde, c’est celle du cascadeur aérien Roger Schumann, ancien as de l’aviation de 14-18, dont le tempérament s’aigrit dès qu’il remet pied à terre. L’aube, c’est celle blafarde des années de la Dépression. La ronde absurde s’arrête pour Roger un jour de Mardi Gras, quand son avion s’écrase dans un marécage...
« D’une certaine façon, La Ronde de l’aube est né de Ecrit sur du vent. On a la même ambiance de désespoir, d’alcoolisme et de doute sur les valeurs de la vie, et en même temps la même tentative presque hystérique de les étreindre, d’étreindre le vent. »
Douglas Sirk
« La Ronde de l’aube, c’est aussi cela, une histoire d’amour incroyable, l’histoire d’un amour fou d’une femme pour un homme. Leur communion ne se fait que devant la mort, lorsqu’elle se jette en parachute et que lui fait ses acrobaties, dont la moindre est déjà un défi. Cette femme humiliée, ignorée, anéantie est aussi sans pudeur. Elle ne craint pas d’avouer sa servitude, de s’en glorifier et de la hurler à qui veut l’entendre (…) On ne sera pas étonné d’apprendre que La Ronde de l’aube était de tous les films adaptés de ses livres celui que Faulkner préférait. Sirk avait réussi une histoire bien dans la manière faulknérienne, une histoire « de bruit et de fureur », bien sûr, mais racontée par un enfant. »
Jean Wagner, Dossiers du cinéma (Ed. Casterman, 1971)
« D’une certaine façon, La Ronde de l’aube est né de Ecrit sur du vent. On a la même ambiance de désespoir, d’alcoolisme et de doute sur les valeurs de la vie, et en même temps la même tentative presque hystérique de les étreindre, d’étreindre le vent. »
Douglas Sirk
« La Ronde de l’aube, c’est aussi cela, une histoire d’amour incroyable, l’histoire d’un amour fou d’une femme pour un homme. Leur communion ne se fait que devant la mort, lorsqu’elle se jette en parachute et que lui fait ses acrobaties, dont la moindre est déjà un défi. Cette femme humiliée, ignorée, anéantie est aussi sans pudeur. Elle ne craint pas d’avouer sa servitude, de s’en glorifier et de la hurler à qui veut l’entendre (…) On ne sera pas étonné d’apprendre que La Ronde de l’aube était de tous les films adaptés de ses livres celui que Faulkner préférait. Sirk avait réussi une histoire bien dans la manière faulknérienne, une histoire « de bruit et de fureur », bien sûr, mais racontée par un enfant. »
Jean Wagner, Dossiers du cinéma (Ed. Casterman, 1971)
SEANCES
Mardi 3 mars à 20h30
Samedi 7 mars à 19h30
Dimanche 8 mars à 16h30
Samedi 14 mars à 19h
Lundi 16 mars à 18h30
Samedi 7 mars à 19h30
Dimanche 8 mars à 16h30
Samedi 14 mars à 19h
Lundi 16 mars à 18h30