PROGRAMMATION MARS 2011
USA, 1925, 1h15, muet
Avec Charles Chaplin, Mack Swain, Tom Murray
Avec Charles Chaplin, Mack Swain, Tom Murray
Nous sommes en 1898. Charlot lui aussi est devenu un chercheur d’or. Mais pris dans une tempête, il tombe sur un bandit, Black Larsen. Il est sauvé de justesse par un certain Jim McKay, alias Big Jim. Tous deux réunis vont vivre quelques aventures dans la neige du Klondyke. Une comédie dramatique dans laquelle on passe rapidement et sans transition de la tristesse à la joie, du rire aux larmes. Mais on rit plus souvent grâce au talent d’interprétation de ce clown de Chaplin.
« Après l'insuccès de L'Opinion publique, Chaplin revient à son personnage de vagabond, qu'il plonge dans un décors blanc et nu, où l'homme a le choix entre mourir de faim et devenir richissime en quelques jours. Il reprend le double thème de l'amour malheureux et de la lutte de l'individu contre un monde hostile. La satire des nouveaux riches est cinglante. Charlot cherche de l'or moins par attrait de la richesse que pour conjurer la misère toujours présente dans cette Amérique de 1925, par ailleurs gavée et sûre d'elle. Chaplin se perfectionne de film en film, purifiant son comique, qui prend une portée universelle, et dosant en expert le tragique et le comique (comme dans ce gag cruel où il danse, sans savoir qu'un chien est attaché à la ficelle qui tient son pantalon). Plusieurs séquences sont entrées dans l'histoire du cinéma : les prospecteurs mangeant leurs souliers ; le rêve de Charlot exécutant la danse des petits pains ; la cabane en équilibre au bord du précipice. »Bernard Génin, Télérama
« Après l'insuccès de L'Opinion publique, Chaplin revient à son personnage de vagabond, qu'il plonge dans un décors blanc et nu, où l'homme a le choix entre mourir de faim et devenir richissime en quelques jours. Il reprend le double thème de l'amour malheureux et de la lutte de l'individu contre un monde hostile. La satire des nouveaux riches est cinglante. Charlot cherche de l'or moins par attrait de la richesse que pour conjurer la misère toujours présente dans cette Amérique de 1925, par ailleurs gavée et sûre d'elle. Chaplin se perfectionne de film en film, purifiant son comique, qui prend une portée universelle, et dosant en expert le tragique et le comique (comme dans ce gag cruel où il danse, sans savoir qu'un chien est attaché à la ficelle qui tient son pantalon). Plusieurs séquences sont entrées dans l'histoire du cinéma : les prospecteurs mangeant leurs souliers ; le rêve de Charlot exécutant la danse des petits pains ; la cabane en équilibre au bord du précipice. »Bernard Génin, Télérama
Séances
samedi 26 mars à 16h30
dimanche 27 mars à 21h
dimanche 27 mars à 21h