PROGRAMMATION SEPTEMBRE 2008
USA, 1946, 2h10, VOSTF
Avec James Stewart, Donna Reed, Lionel Barrymore, Thomas Mitchell, Henry Travers, Beulah Bondi, Frank Faylen, Ward Bond, Gloria Grahame
Avec James Stewart, Donna Reed, Lionel Barrymore, Thomas Mitchell, Henry Travers, Beulah Bondi, Frank Faylen, Ward Bond, Gloria Grahame
Le décès du père de George Bailey l'oblige à reprendre l'entreprise familiale de prêts à la construction qui permet aux plus déshérités de se loger. Il entre en conflit avec Potter, l'homme le plus riche de la ville, qui tente de ruiner ses efforts. Désespéré suite à un coup bas, George songe au suicide… Cette fable optimiste mais jamais sirupeuse demeure le film le plus célèbre de Frank Capra et l’un des rôles majeurs de James Stewart.
« « De tous les rôles qu’un acteur peut avoir à interpréter, je crois que le plus difficile est celui d’un brave type qui ne sait pas qu’il est un brave type », raconte Capra dans ses Mémoires. Lorsqu’il cherche cet oiseau rare pour La Vie est belle, il va droit vers Monsieur Smith : James Stewart (…) Geogre Bailey est sans doute le plus beau des personnages incarnés par James Stewart. Entre désespoir et drôlerie. Entre sensibilité et sensualité (sublime scène où me front contre celui de sa femme, troublé, le souffle court, il finit par la prendre dans ses bras et lui avouer enfin son amour). La guerre est terminée. Capra renoue avec ses croyances : l’homme contre la machine (financière ou politique), le système D contre le système tout court, l’amour et l’amitié contre la cupidité et le profit. Un tube de vitamines, un bain de jouvence. Rien que du bonheur… »
Isabelle Danel, Télérama
« « De tous les rôles qu’un acteur peut avoir à interpréter, je crois que le plus difficile est celui d’un brave type qui ne sait pas qu’il est un brave type », raconte Capra dans ses Mémoires. Lorsqu’il cherche cet oiseau rare pour La Vie est belle, il va droit vers Monsieur Smith : James Stewart (…) Geogre Bailey est sans doute le plus beau des personnages incarnés par James Stewart. Entre désespoir et drôlerie. Entre sensibilité et sensualité (sublime scène où me front contre celui de sa femme, troublé, le souffle court, il finit par la prendre dans ses bras et lui avouer enfin son amour). La guerre est terminée. Capra renoue avec ses croyances : l’homme contre la machine (financière ou politique), le système D contre le système tout court, l’amour et l’amitié contre la cupidité et le profit. Un tube de vitamines, un bain de jouvence. Rien que du bonheur… »
Isabelle Danel, Télérama
SEANCES
Vendredi 5 septembre à 19h
Samedi 6 septembre à 18h30
Dimanche 14 septembre à 20h30
Mardi 16 septembre à 18h30
Samedi 6 septembre à 18h30
Dimanche 14 septembre à 20h30
Mardi 16 septembre à 18h30