PROGRAMMATION SEPTEMBRE 2009
France-Italie, 1970, 1h35
Avec Stéphane Audran, Jean Yanne, Antonio Passala, Roger Rudel
Avec Stéphane Audran, Jean Yanne, Antonio Passala, Roger Rudel
Hélène institutrice dans un village du Périgord, sympathise avec Popaul, le boucher. Peu à peu, elle comprend qu’il est l’auteur des crimes de femmes dans les environs...
« De bout en bout, Le Boucher est parcouru par ces tensions contraires, ciel et terre, limon originel de popaul (« un beau fumier, mon père ») contre sommets éthérés de la méditation transcendantale que pratique Hélène. Entre l’animal et l’humain, le crime et la morale, le vice et la vertu, autant de vacillantes frontières que le film contribue à brouiller. Leur traversée, si elle est occultée par le montage – des meurtres on ne perçoit que l’écho – est insidieusement soulignée : plans des avants-bras poilus du boucher, saisissant le couteau pour couper la part de rôti d’Hélène, lui donnant à humer un sac de champignons... »
Elisabeth Lequeret, Le Monde
« Chabrol réussit trois grands films en un. La peinture parfaite d’une province et d’un assassin. L’étude glaçante de la fascination réciproque entre nature et culture. Une grande histoire d’amour ratée. »
Guillemette Odicino, Télérama
« De bout en bout, Le Boucher est parcouru par ces tensions contraires, ciel et terre, limon originel de popaul (« un beau fumier, mon père ») contre sommets éthérés de la méditation transcendantale que pratique Hélène. Entre l’animal et l’humain, le crime et la morale, le vice et la vertu, autant de vacillantes frontières que le film contribue à brouiller. Leur traversée, si elle est occultée par le montage – des meurtres on ne perçoit que l’écho – est insidieusement soulignée : plans des avants-bras poilus du boucher, saisissant le couteau pour couper la part de rôti d’Hélène, lui donnant à humer un sac de champignons... »
Elisabeth Lequeret, Le Monde
« Chabrol réussit trois grands films en un. La peinture parfaite d’une province et d’un assassin. L’étude glaçante de la fascination réciproque entre nature et culture. Une grande histoire d’amour ratée. »
Guillemette Odicino, Télérama
Séances
Mercredi 16 septembre à 19h
Vendredi 18 septembre à 21h15
Dimanche 20 septembre à 15h
Vendredi 18 septembre à 21h15
Dimanche 20 septembre à 15h