PROGRAMMATION SEPTEMBRE 2010
Japon, 1957, 1h50, VOSTF
avec Toshirô Mifune, Chiaki Minoru, Isuzu Yamada
avec Toshirô Mifune, Chiaki Minoru, Isuzu Yamada
Dans le Japon du 16e siècle, deux généraux, Washizu et Miki, se perdent dans les brumes d’une forêt au retour d’une bataille victorieuse. Ils y rencontrent une sorcière qui prédit que Washizu succèdera à son seigneur Tsuzuki, mais que ce sera pourtant le fils de son ami Miki qui régnera ensuite... Splendide adaptation de la pièce de Shakespeare, “Macbeth”.
« Kurosawa mêle le réalisme cru (scène du meurtre) à l’onirisme échevelé (les prédictions de l’énigmatique sorcière), son amour des sons purs et des bruits (sabots des chevaux, froissement des hakamas et des kimonos, bourrasques de vent dans les arbres) à la sobriété des dialogues. Le drame est construit autour de la métaphore de la toile d’araignée : rets minutieux de l’épouse ambitieuse tissant sa toile maléfique. Mais aussi enchevêtrement inextricable de ce fouillis de flèches qui finiront par clouer le général meurtrier aux murs de son château. »
Xavier Lacavalerie, Télérama
« Version transposée au Japon du Macbeth de Shakespeare, le film de Kurosawa en est la plus curieuse mais peut-être la plus puissante adaptation à l’écran. Kurosawa joue savamment des contrastes entre le foisonnement baroque des armures luisantes, des forêts mouillées de brouillard et le vide d’un décor nocturne ou l’immobilité des personnages. »
Jean d’Yvoir, Télérama
« Kurosawa mêle le réalisme cru (scène du meurtre) à l’onirisme échevelé (les prédictions de l’énigmatique sorcière), son amour des sons purs et des bruits (sabots des chevaux, froissement des hakamas et des kimonos, bourrasques de vent dans les arbres) à la sobriété des dialogues. Le drame est construit autour de la métaphore de la toile d’araignée : rets minutieux de l’épouse ambitieuse tissant sa toile maléfique. Mais aussi enchevêtrement inextricable de ce fouillis de flèches qui finiront par clouer le général meurtrier aux murs de son château. »
Xavier Lacavalerie, Télérama
« Version transposée au Japon du Macbeth de Shakespeare, le film de Kurosawa en est la plus curieuse mais peut-être la plus puissante adaptation à l’écran. Kurosawa joue savamment des contrastes entre le foisonnement baroque des armures luisantes, des forêts mouillées de brouillard et le vide d’un décor nocturne ou l’immobilité des personnages. »
Jean d’Yvoir, Télérama
Séances
Jeudi 2 septembre à 21h
Dimanche 5 septembre à 19h30
Samedi 11 septembre à 21h
SAMEDI 11 SEPTEMBRE • 21:00 • SÉANCE SUIVIE D’UNE LEÇON DE CINÉMA DE CHARLES TESSON, SPÉCIALISTE DU CINÉMA ASIATIQUE (AUTEUR NOTAMMENT D’OUVRAGES SUR AKIRA KUROSAWA OU SATYAJIT RAY), UNIVERSITAIRE, CRITIQUE, ANCIEN RÉDACTEUR EN CHEF DES CAHIERS DU CINÉMA
Dimanche 5 septembre à 19h30
Samedi 11 septembre à 21h
SAMEDI 11 SEPTEMBRE • 21:00 • SÉANCE SUIVIE D’UNE LEÇON DE CINÉMA DE CHARLES TESSON, SPÉCIALISTE DU CINÉMA ASIATIQUE (AUTEUR NOTAMMENT D’OUVRAGES SUR AKIRA KUROSAWA OU SATYAJIT RAY), UNIVERSITAIRE, CRITIQUE, ANCIEN RÉDACTEUR EN CHEF DES CAHIERS DU CINÉMA