PROGRAMMATION JUIN-JUILLET 2008
Grande-Bretagne, 1952, 1h44, VOSTF
Avec Burt Lancaster, Nick Cravat, Eva Bartok
Avec Burt Lancaster, Nick Cravat, Eva Bartok
A la fin du XVIIIe siècle, un capitaine de pirates, Vallo, s’empare d’un navire espagnol qui ne transporte pas d’or mais des armes. Le Capitaine décide de vendre ces armes aux insurgés de l’Ile de Cobra dont le meneur se nomme El Libre. L’émissaire du roi d’Espagne, le baron Gruda, capturé par les pirates, offre une forte somme au capitaine Vallo si celui-ci lui livre El Libre….
«(…) [Le corsaire rouge] est un double récit, mêlant à la fois les conventions du film d’aventures maritimes avec des voiliers somptueux, grande figuration, scènes d’abordages et personnages sanguinaires, et parodiant ces mêmes conventions par une avalanche de gags et des prouesses délibérément hors du commun. Il joue sur la crédulité du public, sa confiance un peu aveugle et sa faculté d’émerveillement, sur l’enfant qui sommeille en tout spectateur de cinéma venu voir un film pour qu’on lui raconte une histoire merveilleuse. »
Michel Marie, « Cahier de notes sur… Le Corsaire rouge », Les enfants du cinéma, Paris, 2005.
« Quel bonheur ! Torse nu, Burt Lancaster multiplie els sauts périlleux - avant et arrière -, et saute de mât en mât. L’histoire rebondit de la même façon, dans un sens ou dans un autre : il s’agit d’une invraisemblable et savoureuse accumulation de trahisons, de doubles jeux et de hasards inopinés. (…) De quoi divertir petits et grands ! »
Aurélien Ferenczi, « Le Corsaire rouge », Télérama n° 2488, le 17 septembre 1998
«(…) [Le corsaire rouge] est un double récit, mêlant à la fois les conventions du film d’aventures maritimes avec des voiliers somptueux, grande figuration, scènes d’abordages et personnages sanguinaires, et parodiant ces mêmes conventions par une avalanche de gags et des prouesses délibérément hors du commun. Il joue sur la crédulité du public, sa confiance un peu aveugle et sa faculté d’émerveillement, sur l’enfant qui sommeille en tout spectateur de cinéma venu voir un film pour qu’on lui raconte une histoire merveilleuse. »
Michel Marie, « Cahier de notes sur… Le Corsaire rouge », Les enfants du cinéma, Paris, 2005.
« Quel bonheur ! Torse nu, Burt Lancaster multiplie els sauts périlleux - avant et arrière -, et saute de mât en mât. L’histoire rebondit de la même façon, dans un sens ou dans un autre : il s’agit d’une invraisemblable et savoureuse accumulation de trahisons, de doubles jeux et de hasards inopinés. (…) De quoi divertir petits et grands ! »
Aurélien Ferenczi, « Le Corsaire rouge », Télérama n° 2488, le 17 septembre 1998
SEANCES
Vendredi 13 juin à 19h
Dimanche 15 juin à 17h
Jeudi 19 juin à 21h
Samedi 21 juin à 17h
Dimanche 15 juin à 17h
Jeudi 19 juin à 21h
Samedi 21 juin à 17h