PROGRAMMATION MAI 2005
France, 1952, 1h35, NB
avec Gaby Morlay, Claude Dauphin, Madeleine Renaud, Danielle Darrieux, Jean Gabin, Ginette Leclerc, Pierre Brasseur, Daniel Gélin
avec Gaby Morlay, Claude Dauphin, Madeleine Renaud, Danielle Darrieux, Jean Gabin, Ginette Leclerc, Pierre Brasseur, Daniel Gélin
Film à sketchs, en trois volets :
« Le masque » : au palais de la danse, un vieil homme à la recherche du plaisir cache son âge derrière un masque. Un soir, terrassé par la fatigue, il s’écroule…
« La maison Tellier » : L’histoire des pensionnaires d’une maison close allant à la première communion de la filleule de la patronne, de leur voyage en train à travers la campagne normande, de la cérémonie religieuse, qui émeut jusqu’aux larmes les dames de la maison close…
« Le modèle » : Jean, un jeune peintre, s’éprend de l’un de ses modèles, Joséphine. Lassé, il tente de rompre mais elle se jette par la fenêtre. Jean, pris de remord, épouse Joséphine immobilisée dans un fauteuil…
Certains critiques de l’époque, teintés de nationalisme navrant, le démolirent sous prétexte qu’un « étranger » ne pouvait s’attaquer à Maupassant, écrivain français.
Il s’agit bien évidemment d’un chef d’œuvre de Max Ophüls. Avec ses mouvements de caméra splendides, le film est une méditation sur la nostalgie de l’innocence.
« Le masque » : au palais de la danse, un vieil homme à la recherche du plaisir cache son âge derrière un masque. Un soir, terrassé par la fatigue, il s’écroule…
« La maison Tellier » : L’histoire des pensionnaires d’une maison close allant à la première communion de la filleule de la patronne, de leur voyage en train à travers la campagne normande, de la cérémonie religieuse, qui émeut jusqu’aux larmes les dames de la maison close…
« Le modèle » : Jean, un jeune peintre, s’éprend de l’un de ses modèles, Joséphine. Lassé, il tente de rompre mais elle se jette par la fenêtre. Jean, pris de remord, épouse Joséphine immobilisée dans un fauteuil…
Certains critiques de l’époque, teintés de nationalisme navrant, le démolirent sous prétexte qu’un « étranger » ne pouvait s’attaquer à Maupassant, écrivain français.
Il s’agit bien évidemment d’un chef d’œuvre de Max Ophüls. Avec ses mouvements de caméra splendides, le film est une méditation sur la nostalgie de l’innocence.
SEANCE
mardi 3 mai à 20h30