PROGRAMMATION JANVIER 2010
USA, 1970, 2h06, VOSTF
Avec Kirk Douglas, Henry Fonda, John Randolph, Lee Grant
Avec Kirk Douglas, Henry Fonda, John Randolph, Lee Grant
Paris Pitman Jr., prisonnier à la forte personnalité, se sert de l'humanisme du nouveau directeur pour préparer son évasion. Il manipule ses co-détenus pour obtenir leur aide... Pour son avant-dernier film, Mankiewicz s’offre une récréation : un western burlesque et sardonique porté par des acteurs de l’ancienne génération dans des rôles iconoclastes. Un film injustement mal aimé à sa sortie.
« Avec Mankiewicz, il faut s'attendre à ce que les êtres soient (au moins) doubles, imprévisibles. Le langage est le premier pouvoir. Il sert à manipuler son prochain. Mankiewicz n'a pas réalisé un western ordinaire (le seul de toute sa carrière), mais un film d'aventures, plein d'humour et d'ironie, qui est plutôt un conte moral. Henry Fonda et Kirk Douglas s'en donnent à coeur joie. Un film jubilatoire, même si l'insolence du récit donne une image peu flatteuse du genre humain. »
Philippe Piazzo, Télérama
« Dans Le Reptile, l’obsession manipulatrice atteint un degré sans précédent : le hors-la-loi et le représentant de l’ordre passent des années à jouer au plus fin, chacun usant du pouvoir qu’il possède afin de manipuler l’autre. Le Reptile est donc un faux western qui n’est en réalité pour Mankiewicz qu’une occasion de plus de mystifier sans cesse le spectateur par un constant renversement des valeurs. »
Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier, 50 ans de cinéma américain
« Avec Mankiewicz, il faut s'attendre à ce que les êtres soient (au moins) doubles, imprévisibles. Le langage est le premier pouvoir. Il sert à manipuler son prochain. Mankiewicz n'a pas réalisé un western ordinaire (le seul de toute sa carrière), mais un film d'aventures, plein d'humour et d'ironie, qui est plutôt un conte moral. Henry Fonda et Kirk Douglas s'en donnent à coeur joie. Un film jubilatoire, même si l'insolence du récit donne une image peu flatteuse du genre humain. »
Philippe Piazzo, Télérama
« Dans Le Reptile, l’obsession manipulatrice atteint un degré sans précédent : le hors-la-loi et le représentant de l’ordre passent des années à jouer au plus fin, chacun usant du pouvoir qu’il possède afin de manipuler l’autre. Le Reptile est donc un faux western qui n’est en réalité pour Mankiewicz qu’une occasion de plus de mystifier sans cesse le spectateur par un constant renversement des valeurs. »
Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier, 50 ans de cinéma américain
SEANCES
Mercredi 30 décembre à 21h
Jeudi 31 décembre à 18h
Vendredi 1er janvier à 21h15
Dimanche 3 janvier à 14h30
Jeudi 31 décembre à 18h
Vendredi 1er janvier à 21h15
Dimanche 3 janvier à 14h30