PROGRAMMATION MARS 2011
France, 1959, 1h40
Avec Jean-Louis Barrault, Michel Vitold, Jean Topart
Avec Jean-Louis Barrault, Michel Vitold, Jean Topart
Le docteur Cordelier, célèbre psychiatre, a confié à Maitre Joly un testament en faveur d'un certain Opale, sinistre individu, sadique et meurtrier. Cordelier présente Opale comme un patient sur lequel il se livre à des expériences. Mais on apprend bientôt qu'Opale et Cordelier ne font qu'un... Une adaptation française moins connue de la célèbre nouvelle Docteur Jekyll et Mister Hyde de Robert Louis Stevenson.
« Cette nouvelle version du Docteur Jekyll et Mister Hyde constitue un sujet très attachant, surtout que Renoir a su lui apporter une originalité, notamment dans la chaleur humaine qui se dégage de la peinture d'Opale. (...) Jean-Louis Barrault écrase, par son talent de mime, tous les autres personnages. »
Image et Son n°144, 1er janvier 1960
« Une certaine attitude devant la vie, une certaine attitude devant les hommes, et toujours le même souci de préserver l'humaine nature, toujours le même acharnement à défendre l'animal humain, cerné, prisonnier, condamné par les forces froides de la raison, par les violences hostiles de la raison. Le Testament du docteur Cordelier, comme Le Déjeuner sur l'herbe, marque une volonté de résister aux entreprises du monde moderne, aux attaques du cauchemar mécanique, qui, au delà des naïvetés apparentes, atteint à une sorte de grandeur, grandeur qui trouve dans l'humour son équilibre et sa sagesse. »
Combat, 21 novembre 1961
« Cette nouvelle version du Docteur Jekyll et Mister Hyde constitue un sujet très attachant, surtout que Renoir a su lui apporter une originalité, notamment dans la chaleur humaine qui se dégage de la peinture d'Opale. (...) Jean-Louis Barrault écrase, par son talent de mime, tous les autres personnages. »
Image et Son n°144, 1er janvier 1960
« Une certaine attitude devant la vie, une certaine attitude devant les hommes, et toujours le même souci de préserver l'humaine nature, toujours le même acharnement à défendre l'animal humain, cerné, prisonnier, condamné par les forces froides de la raison, par les violences hostiles de la raison. Le Testament du docteur Cordelier, comme Le Déjeuner sur l'herbe, marque une volonté de résister aux entreprises du monde moderne, aux attaques du cauchemar mécanique, qui, au delà des naïvetés apparentes, atteint à une sorte de grandeur, grandeur qui trouve dans l'humour son équilibre et sa sagesse. »
Combat, 21 novembre 1961
Séances
samedi 26 février à 15h
dimanche 27 février à 20h30
mardi 1er mars à 18h30
dimanche 27 février à 20h30
mardi 1er mars à 18h30