PROGRAMMATION MAI 2006
USA, 1947, 1h35, VOSTF
avec Farley Granger, Cathy O’Donnell, Howard Da Silva
avec Farley Granger, Cathy O’Donnell, Howard Da Silva
Le jeune Bowie s’évade de prison en compagnie de deux gangsters, Chickamaw et Dub. Ils vont trouver refuge chez le frère de Chickamaw, où Bowie tombe amoureux de Keechie. Les deux amants réussissent à échapper à l’emprise des gangsters et à se marier, mais Chickamaw est sur leurs traces... Cavale tragique de ces Amants de la Nuit, condamnés par une fatalité propre au film noir.
« Le film commence par un plan lumineux de Farley Granger et Cathy O’Donnell dans les bras l’un de l’autre, avec un sous-titre expliquant : "Ce garçon et cette fille n’ont jamais été proprement introduits dans le monde dans lequel nous vivons pour raconter leur histoire." Tout est dit dans ce prologue : le monde clandestin et nocturne de l’amour et de la révolte en opposition au monde diurne de l’hypocrisie sociale. Venu présenter le film en ouverture d’un hommage qui lui était consacré à la Cinémathèque, au début des années 70, Nicholas Ray déclara : "Depuis, je n’ai changé ni d’esthétique ni de morale." La cavale tragique des amants de la nuit, condamnés par une fatalité propre au film noir, est le premier manifeste d’un cinéaste "rebel" qui a su, mieux que personne, donner à ses idées la couleur de l’émotion pure. »
François Guérif, Télérama
« Le film commence par un plan lumineux de Farley Granger et Cathy O’Donnell dans les bras l’un de l’autre, avec un sous-titre expliquant : "Ce garçon et cette fille n’ont jamais été proprement introduits dans le monde dans lequel nous vivons pour raconter leur histoire." Tout est dit dans ce prologue : le monde clandestin et nocturne de l’amour et de la révolte en opposition au monde diurne de l’hypocrisie sociale. Venu présenter le film en ouverture d’un hommage qui lui était consacré à la Cinémathèque, au début des années 70, Nicholas Ray déclara : "Depuis, je n’ai changé ni d’esthétique ni de morale." La cavale tragique des amants de la nuit, condamnés par une fatalité propre au film noir, est le premier manifeste d’un cinéaste "rebel" qui a su, mieux que personne, donner à ses idées la couleur de l’émotion pure. »
François Guérif, Télérama
Séances
vendredi 12 mai à 22h
samedi 13 mai à 20h
samedi 20 mai à 22h
dimanche 21 mai à 19h
samedi 13 mai à 20h
samedi 20 mai à 22h
dimanche 21 mai à 19h