PROGRAMMATION JANVIER 2009
USA, 1967, 2h06, VOSTF
Avec Paul Newman, George Kennedy, John Donovan Cannon
Avec Paul Newman, George Kennedy, John Donovan Cannon
Pour s'être livré à des actes de vandalisme, Luke Jackson purge une peine de deux ans de prison dans un camp de travail. Il s'y lie d'amitié avec un autre détenu, Dragline, et devient bientôt le prisonnier le plus populaire grâce à son flegme et sa joie de vivre communicative.
« Au-delà des séquences spectaculaires (bagarres et évasions), le film se veut, avant tout, un témoignage virulent sur les conditions de vie dans les pénitenciers américains. Stuart Rosenberg fait partie de la mouvance de cinéastes progressistes (Pakula, Pollack...), qui s'impose dans les années 60. Le sujet lui tient à coeur et il l'abordera à nouveau en 1980 avec Brubaker. Luke est un rebelle arrogant mais séduisant, un incorruptible individualiste et forcené, un asocial charismatique. Il devient progressivement le révélateur des tensions, des rancoeurs et des injustices qui se développent à l'intérieur de la prison. Loi du milieu carcéral, abus des gardiens : la violence quotidienne de ce monde en vase clos, la fascination malsaine qu'elle peut susciter sont analysées avec lucidité et efficacité. Le scénario fait la part belle à l'aspect documentaire du propos, mais le film repose avant tout sur la composition superbe de Paul Newman.»
Gérard Camy, Télérama
« Réalisateur à la télévision, Stuart Rosenberg s'avère un cinéaste capable de traiter un sujet original. Son tableau du monde pénitentiaire acquiert une réalité prenante par un choix de détails bien agencés dans un découpage très concerté. Certains personnages prennent valeur de symbole dans une interprétation dont les éléments sont contrôlés pour faire partie d'un tout dont la force d'impact est indéniable. »
« Au-delà des séquences spectaculaires (bagarres et évasions), le film se veut, avant tout, un témoignage virulent sur les conditions de vie dans les pénitenciers américains. Stuart Rosenberg fait partie de la mouvance de cinéastes progressistes (Pakula, Pollack...), qui s'impose dans les années 60. Le sujet lui tient à coeur et il l'abordera à nouveau en 1980 avec Brubaker. Luke est un rebelle arrogant mais séduisant, un incorruptible individualiste et forcené, un asocial charismatique. Il devient progressivement le révélateur des tensions, des rancoeurs et des injustices qui se développent à l'intérieur de la prison. Loi du milieu carcéral, abus des gardiens : la violence quotidienne de ce monde en vase clos, la fascination malsaine qu'elle peut susciter sont analysées avec lucidité et efficacité. Le scénario fait la part belle à l'aspect documentaire du propos, mais le film repose avant tout sur la composition superbe de Paul Newman.»
Gérard Camy, Télérama
« Réalisateur à la télévision, Stuart Rosenberg s'avère un cinéaste capable de traiter un sujet original. Son tableau du monde pénitentiaire acquiert une réalité prenante par un choix de détails bien agencés dans un découpage très concerté. Certains personnages prennent valeur de symbole dans une interprétation dont les éléments sont contrôlés pour faire partie d'un tout dont la force d'impact est indéniable. »
SEANCES
Jeudi 15 janvier à 18h
Dimanche 18 janvier à 18h30
Mardi 20 janvier à 20h
Dimanche 18 janvier à 18h30
Mardi 20 janvier à 20h