DU MUSÉE D'ARTS AU CINÉMATOGRAPHE • MARS - AVRIL 2018
Nouvelle-Zélande, Australie, France, 1993, 2h01, VOSTF
avec Holly Hunter, Harvey Keitel, Sam Neill, Anna Paquin, Genevieve Lemon
NUM• VERSION RESTAURÉE
avec Holly Hunter, Harvey Keitel, Sam Neill, Anna Paquin, Genevieve Lemon
NUM• VERSION RESTAURÉE
Au XIXe siècle, Ada, une jeune femme écossaise, muette, est envoyée en Nouvelle-Zélande avec sa fille. Elle doit y épouser un colon, qu'elle ne connaît pas... Un jour, la jeune femme supplie son étrange voisin tatoué comme les indigènes, de la conduire à son piano qu’elle a laissé sur la grève. Après avoir écouté Ada jouer, George Baines fait transporter le piano chez lui et déclare vouloir reprendre des leçons. Lyrique et bouillonnant de sensualité, le film raconte la passion romantique d'une pianiste mutique et révoltée, sur fond d'éléments déchaînés.
en écho à : Portrait de Lady Frances Balfour, Edward Burne-Jones (huile sur toile, vers 1880)
Ce portrait représente une personnalité issue de l’aristocratie écossaise. La jeune femme, vêtue d’une simple robe de mousseline blanche, est représentée sans aucun ornement qui pourrait révéler son statut social. L’absence de décor neutralise également toute symbolique. L’attention se porte donc sur son visage cristallin, ses yeux bleus translucides et sa chevelure flamboyante. Burne-Jones rend ici hommage à l’art du portrait de la Renaissance, tant par le cadrage que par la posture du modèle. Ses compositions, inspirées des mythes et de la littérature anglaise médiévale, sont habitées par des personnages à la beauté idéalisée d’où se dégage une certaine mélancolie lancinante. > exposé dans le Palais, salle 24
Ce portrait représente une personnalité issue de l’aristocratie écossaise. La jeune femme, vêtue d’une simple robe de mousseline blanche, est représentée sans aucun ornement qui pourrait révéler son statut social. L’absence de décor neutralise également toute symbolique. L’attention se porte donc sur son visage cristallin, ses yeux bleus translucides et sa chevelure flamboyante. Burne-Jones rend ici hommage à l’art du portrait de la Renaissance, tant par le cadrage que par la posture du modèle. Ses compositions, inspirées des mythes et de la littérature anglaise médiévale, sont habitées par des personnages à la beauté idéalisée d’où se dégage une certaine mélancolie lancinante. > exposé dans le Palais, salle 24
Séances • Mars 2018
- - vendredi 9/03 20:30 - - mercredi 14/03 14:15 - - mardi 20/03 18:15
Crédit : Gérard Blot/Agence photographique de la Réunion des Musées Nationaux - Grand Palais des Champs Elysées