USA, 1958, 2h06, VOSTF
Avec Cary Grant, Eva-Marie Saint, James Mason, Martin Landau
Collège au Cinéma 2014/15 – 2ème trimestre – 4e/3e
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Avec Cary Grant, Eva-Marie Saint, James Mason, Martin Landau
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Jusqu'à présent, Roger Thornhill, un quinquagénaire, n'avait pour seul souci que les éternelles embrassades de sa mère abusive. Une méprise complique singulièrement sa vie, jusque-là paisible. Un groupe d'espions à la solde d'une puissance étrangère le confond avec un certain George Kaplan. Enlevé et conduit dans la luxueuse demeure de Lester Townsend, Thornhill ne peut évidemment rien révéler de ce que le chef des espions, Phillip Vandamm, attend de lui. Il échappe miraculeusement à la mort. Un second quiproquo et le voici qui passe pour un assassin. Il parvient néanmoins à prendre la fuite et décide d'enquêter afin de prouver son innocence et de confondre les véritables criminels...
"La Mort aux trousses est une course folle, littéralement. (...) L’important est dans l’élan, la fuite en avant. Les scènes s’enchaînent frénétiquement, plus mémorables les unes que les autres."
Télérama
"La Mort aux trousses fourmille en moments forts - autant de scènes d’anthologie. Outre le clou du film, la scène de l’avion dans le désert qui ne manquera pas de poser des problèmes techniques, il y a cette scène finale sur le mont Rushmore, ce symbole suprême de l’ordre établi et de la liberté. (...) La Mort aux trousses, histoire aux rebondissements incessants, sera un énorme succès critique et commercial. Pour reprendre l’expression d’Hitchcock, ce film est vraiment une "tranche de gâteau", surtout par rapport au film qui va suivre, Psychose, qui lui, n’a rien d’une douce et délicieuse fantaisie!"
Dominique Auzel, Alfred Hitchcock - Les essentiels Milan
"La Mort aux trousses est une course folle, littéralement. (...) L’important est dans l’élan, la fuite en avant. Les scènes s’enchaînent frénétiquement, plus mémorables les unes que les autres."
Télérama
"La Mort aux trousses fourmille en moments forts - autant de scènes d’anthologie. Outre le clou du film, la scène de l’avion dans le désert qui ne manquera pas de poser des problèmes techniques, il y a cette scène finale sur le mont Rushmore, ce symbole suprême de l’ordre établi et de la liberté. (...) La Mort aux trousses, histoire aux rebondissements incessants, sera un énorme succès critique et commercial. Pour reprendre l’expression d’Hitchcock, ce film est vraiment une "tranche de gâteau", surtout par rapport au film qui va suivre, Psychose, qui lui, n’a rien d’une douce et délicieuse fantaisie!"
Dominique Auzel, Alfred Hitchcock - Les essentiels Milan