CINÉMA D'HIER ET D'AUJOURD'HUI • MARS 2013
France, 1938, 1h31, VOSTF
avec Jean Gabin, Michel Simon, Michèle Morgan, Pierre Brasseur
RÉÉDITION
avec Jean Gabin, Michel Simon, Michèle Morgan, Pierre Brasseur
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Par une nuit ténébreuse, un déserteur du nom de Jean arrive au Havre dans l’espoir de quitter la France. En attendant un bateau, il trouve refuge au bout des quais, dans une baraque autour de laquelle gravitent plusieurs marginaux. Il y fait la rencontre de Nelly, une belle et mystérieuse jeune femme dont le regard le bouleverse. Cette dernière vit dans la terreur de son tuteur, le misérable Zabel, lui-même racketté par une bande de voyous. Par amour, Jean se mêle aux affaires de Nelly et met les pieds dans un engrenage périlleux...
"Avec Les Enfants du paradis, Le Quai des brumes est le chef-d’œuvre qui a consacré Marcel Carné comme l’un des maîtres du cinéma français classique. Par sa reconstitution onirique du port du Havre tout en nuances de gris et son histoire d’amour impossible au cœur d’un épais brouillard, le film diffuse une atmosphère inimitable. Transcendés par les monstres sacrés que sont Michel Simon ou Pierre Brasseur, les dialogues de Jacques Prévert insufflent au récit un air de mélancolie et une poésie du désespoir. Si sa noirceur de ton a valu au film d’être vivement critiqué à une époque où l’optimisme patriotique était de mise, la noirceur de la photographie a permis l’une des plus belles scènes du cinéma, celle où le regard lumineux de Michèle Morgan perce l’obscurité et fait dire à Jean Gabin : "T’as de beaux yeux, tu sais ?". "
Extrait du dossier de presse
"Avec Les Enfants du paradis, Le Quai des brumes est le chef-d’œuvre qui a consacré Marcel Carné comme l’un des maîtres du cinéma français classique. Par sa reconstitution onirique du port du Havre tout en nuances de gris et son histoire d’amour impossible au cœur d’un épais brouillard, le film diffuse une atmosphère inimitable. Transcendés par les monstres sacrés que sont Michel Simon ou Pierre Brasseur, les dialogues de Jacques Prévert insufflent au récit un air de mélancolie et une poésie du désespoir. Si sa noirceur de ton a valu au film d’être vivement critiqué à une époque où l’optimisme patriotique était de mise, la noirceur de la photographie a permis l’une des plus belles scènes du cinéma, celle où le regard lumineux de Michèle Morgan perce l’obscurité et fait dire à Jean Gabin : "T’as de beaux yeux, tu sais ?". "
Extrait du dossier de presse
Séances
Samedi 2 mars 2013 à 14:15
Dimanche 3 mars 2013 à 18:30
Lundi 4 mars 2013 à 20:30
Jeudi 7 mars 2013 à 18:30
Dimanche 10 mars 2013 à 19:00
Dimanche 3 mars 2013 à 18:30
Lundi 4 mars 2013 à 20:30
Jeudi 7 mars 2013 à 18:30
Dimanche 10 mars 2013 à 19:00