CENTRE D'HISTOIRE DU TRAVAIL • 30 ANS
France, 2004, 8 x 52 min, série télé
avec Marie Denarnaud, Robinson Stévenin, Florence Thomassin, Luc Thuillier, François Morel
avec Marie Denarnaud, Robinson Stévenin, Florence Thomassin, Luc Thuillier, François Morel
L'histoire se passe à Raussel, une petite ville comme tant d'autres, où la seule grosse entreprise, la Kos, vient un jour à fermer... comme tant d'autres. Embrasement. Éclatement d'une communauté. Au cœur de ce bouleversement, les désirs et les passions deviennent brûlants, les histoires d'amour et l'histoire sociale se mêlent.
« « J'ai écrit Les Vivants et les Morts avec la conviction qu'un tel projet ne pouvait exister que de manière romanesque, que le paysage audiovisuel français était trop rétif, pour ne pas dire hostile, à montrer le monde du travail contemporain, à travers les conflits qui s'y déroulent. » Cinq ans après la sortie de son roman - devenu un succès de librairie -, Gérard Mordillat ne peut que se réjouir d'avoir eu tort. Grâce à l'enthousiasme et à la pugnacité d'un producteur, Jérôme Minet (disparu pendant la préparation du projet et relayé par Denis Freyd et André Bouvard), Les Vivants et les Morts se réinvente aujourd'hui sous la forme d'une très belle série de huit épisodes, poignante fresque sociale dédiée à tous ceux qui luttent pour sauver leur emploi. « Ces hommes et ces femmes qui ont une intelligence, une culture, un corps dont on ne peut pas se débarrasser comme une variable d'ajustement », l'écrivain et cinéaste les rend visibles, les fait vivre et vibrer à travers le combat des ouvriers de la Kos, usine de fibre plastique condamnée à mort par les lois du capitalisme financier. Autour du jeune couple formé par Rudi, l'insoumis à la présence féline (Robinson Stévenin), et Dallas, sa « belle et rebelle » (Marie Denarnaud), une cinquantaine de personnages se battent, s'aiment, se déchirent. A la lutte collective répond leur vérité intime, faite d'amour fou, de rêves et de blessures secrètes. »
Isabelle Poitte, Télérama
« « J'ai écrit Les Vivants et les Morts avec la conviction qu'un tel projet ne pouvait exister que de manière romanesque, que le paysage audiovisuel français était trop rétif, pour ne pas dire hostile, à montrer le monde du travail contemporain, à travers les conflits qui s'y déroulent. » Cinq ans après la sortie de son roman - devenu un succès de librairie -, Gérard Mordillat ne peut que se réjouir d'avoir eu tort. Grâce à l'enthousiasme et à la pugnacité d'un producteur, Jérôme Minet (disparu pendant la préparation du projet et relayé par Denis Freyd et André Bouvard), Les Vivants et les Morts se réinvente aujourd'hui sous la forme d'une très belle série de huit épisodes, poignante fresque sociale dédiée à tous ceux qui luttent pour sauver leur emploi. « Ces hommes et ces femmes qui ont une intelligence, une culture, un corps dont on ne peut pas se débarrasser comme une variable d'ajustement », l'écrivain et cinéaste les rend visibles, les fait vivre et vibrer à travers le combat des ouvriers de la Kos, usine de fibre plastique condamnée à mort par les lois du capitalisme financier. Autour du jeune couple formé par Rudi, l'insoumis à la présence féline (Robinson Stévenin), et Dallas, sa « belle et rebelle » (Marie Denarnaud), une cinquantaine de personnages se battent, s'aiment, se déchirent. A la lutte collective répond leur vérité intime, faite d'amour fou, de rêves et de blessures secrètes. »
Isabelle Poitte, Télérama
Séances
Samedi 1er octobre 2011 à 13:30 (épisodes 1 & 2) • séance présentée par Gérard Mordillat
Dimanche 2 octobre 2011 à 11:00 (ep. 3 & 4)
Dimanche 2 octobre 2011 à 14:30 (ep. 5 & 6)
Dimanche 2 octobre 2011 à 17:00 (ep. 7 & 8)
Tarif unique : 3 euros par séance
Dimanche 2 octobre 2011 à 11:00 (ep. 3 & 4)
Dimanche 2 octobre 2011 à 14:30 (ep. 5 & 6)
Dimanche 2 octobre 2011 à 17:00 (ep. 7 & 8)
Tarif unique : 3 euros par séance