PROGRAMMATION OCTOBRE 2008
France, 1980, 2h05
Avec Nicole Garcia, Gérard Depardieu, Roger Pierre, Henri Laborit, Pierre Arditi, Nelly Borgeaud
Avec Nicole Garcia, Gérard Depardieu, Roger Pierre, Henri Laborit, Pierre Arditi, Nelly Borgeaud
Trois destinées, celles d'un journaliste directeur des informations d'une radio, d'un fils d'agriculteur recyclé dans une industrie textile elle-même en mutation, et celle d'une fille d'ouvrier devenue styliste, s'entrecroisent en contrepoint des théories formulées depuis son laboratoire par le professeur Laborit, biologiste et analyste des comportements des rats et des hommes vivant en société...
« D’habitude, on conçoit des films ou des pièces en essayant de faire rentrer des thèses à l’intérieur des personnages ou de l’histoire. Ne serait-ce pas amusant de tenter le contraire ? C’est-à-dire de séparer complètement la théorie de la fiction et de les faire coexister »
Alain Resnais
« Comme il le fera dans « Smoking , No Smoking », Resnais explore les méandres du temps et du hasard avec un montage complexe et brillant. Son film, en bousculant les règles de la narration, ressemble au relief du cerveau, dans sa matérialité et son mystère. Avec une subtile dérision, il invente une parole originale, presque un art à part. »
Cécile Mury, Télérama
« Une femme et deux hommes se racontent leurs vies dans le moindre détail avec, en fond, une étude biologique du cerveau et des comportements que son fonctionnement induit. « Mon oncle d’Amérique » n’est ni le meilleur film ni le plus facile d’accès d’Alain Resnais. pourtant, ce film expérimental, qui tente une analyse des comportements humains fondée sur les travaux du sociobiologiste Henri Laborit, est remarquable a bien des égards. En effet, le cinéaste et le professeur ont su associer leurs deux intelligences dans un langage artistique grammaticalement scientifique. De plus, Alain Resnais s’est entouré de grands comédiens, comme Gérard Depardieu, Nicole Garcia ou Roger Pierre, qui éclairent le film d’humanité grâce a leur jeu sensible. »
L’Humanité
« Entre documentaire et fiction, « Mon Oncle d’Amérique » dépasse la simple démonstration pédagogique pour laisser ses personnages évoluer librement dans une transposition poétique du discours savant. Il peint ainsi, avec finesse et humour, le tableau d’êtres humains aux comportements éternels (consommation, recherche de gratification, lutte, inhibition), avec en toile de fond une France en pleine mutation socio-économique. »
http://www.premiersplans.org
« D’habitude, on conçoit des films ou des pièces en essayant de faire rentrer des thèses à l’intérieur des personnages ou de l’histoire. Ne serait-ce pas amusant de tenter le contraire ? C’est-à-dire de séparer complètement la théorie de la fiction et de les faire coexister »
Alain Resnais
« Comme il le fera dans « Smoking , No Smoking », Resnais explore les méandres du temps et du hasard avec un montage complexe et brillant. Son film, en bousculant les règles de la narration, ressemble au relief du cerveau, dans sa matérialité et son mystère. Avec une subtile dérision, il invente une parole originale, presque un art à part. »
Cécile Mury, Télérama
« Une femme et deux hommes se racontent leurs vies dans le moindre détail avec, en fond, une étude biologique du cerveau et des comportements que son fonctionnement induit. « Mon oncle d’Amérique » n’est ni le meilleur film ni le plus facile d’accès d’Alain Resnais. pourtant, ce film expérimental, qui tente une analyse des comportements humains fondée sur les travaux du sociobiologiste Henri Laborit, est remarquable a bien des égards. En effet, le cinéaste et le professeur ont su associer leurs deux intelligences dans un langage artistique grammaticalement scientifique. De plus, Alain Resnais s’est entouré de grands comédiens, comme Gérard Depardieu, Nicole Garcia ou Roger Pierre, qui éclairent le film d’humanité grâce a leur jeu sensible. »
L’Humanité
« Entre documentaire et fiction, « Mon Oncle d’Amérique » dépasse la simple démonstration pédagogique pour laisser ses personnages évoluer librement dans une transposition poétique du discours savant. Il peint ainsi, avec finesse et humour, le tableau d’êtres humains aux comportements éternels (consommation, recherche de gratification, lutte, inhibition), avec en toile de fond une France en pleine mutation socio-économique. »
http://www.premiersplans.org
SEANCES
Jeudi 9 octobre à 18h30
Samedi 11 octobre à 21h
Vendredi 17 octobre à 18h30
Samedi 18 octobre à 14h30
Samedi 11 octobre à 21h
Vendredi 17 octobre à 18h30
Samedi 18 octobre à 14h30