PROGRAMMATION OCTOBRE 2008
France, 1961, 1h57
Avec Delphine Seyrig, Jean-Pierre Kérien, Nita Klein, Jean-Baptiste Thiérrée, Claude Sainval
Avec Delphine Seyrig, Jean-Pierre Kérien, Nita Klein, Jean-Baptiste Thiérrée, Claude Sainval
Malgré son métier d'antiquaire, Hélène, jeune veuve, s'ennuie. De Smoke, son amant, ne lui apporte plus rien, et elle ne trouve guère plus de réconfort auprès de Bernard, son fils adoptif muré dans le souvenir de Muriel, une jeune femme torturée pendant la guerre. Hélène décide alors de revoir Alphonse, l'amour de ses seize ans...
"Cette force poétique qui éclate à chaque image de Muriel, est servie par un style d'une rigueur exemplaire. Dans ce récit construit en mosaïque, rien n'est laissé au hasard".
Le Monde
« On retrouve les thèmes chers à Alain Resnais, la mémoire, l’amour et la mort, et plus particulièrement le poids des souvenirs, la difficulté de se reconstruire après un traumatisme. Un film en mosaïque, très découpé, fait de sautes et de heurts, et que Henri Langlois considère comme « l’avènement du dodécaphonisme cinématographique ; Resnais est le Schoenberg de ce drame de chambre. (...) L’idée était de faire « un film qui soit un peu imprégné d’une espèce de malaise qu’on pourrait appeler "la civilisation du bonheur". A l’intérieur de cela, un des thèmes principaux est certainement une haine de la violence. (...) Ce qui nous a paru beaucoup plus inquiétant , beaucoup plus terrible à Cayrol et à moi-même, c’est que la violence peut être une chose très banale, très quotidienne et nous avons voulu noyer cette violence à l’intérieur d’événements extrêmement quotidiens et extrêmement banals. » Alain Resnais
http://www.premiersplans.org
"Cette force poétique qui éclate à chaque image de Muriel, est servie par un style d'une rigueur exemplaire. Dans ce récit construit en mosaïque, rien n'est laissé au hasard".
Le Monde
« On retrouve les thèmes chers à Alain Resnais, la mémoire, l’amour et la mort, et plus particulièrement le poids des souvenirs, la difficulté de se reconstruire après un traumatisme. Un film en mosaïque, très découpé, fait de sautes et de heurts, et que Henri Langlois considère comme « l’avènement du dodécaphonisme cinématographique ; Resnais est le Schoenberg de ce drame de chambre. (...) L’idée était de faire « un film qui soit un peu imprégné d’une espèce de malaise qu’on pourrait appeler "la civilisation du bonheur". A l’intérieur de cela, un des thèmes principaux est certainement une haine de la violence. (...) Ce qui nous a paru beaucoup plus inquiétant , beaucoup plus terrible à Cayrol et à moi-même, c’est que la violence peut être une chose très banale, très quotidienne et nous avons voulu noyer cette violence à l’intérieur d’événements extrêmement quotidiens et extrêmement banals. » Alain Resnais
http://www.premiersplans.org
SEANCES
Mercredi 22 octobre à 18h30
Vendredi 24 octobre à 21h
Dimanche 26 octobre à 16h
Mardi 28 octobre à 21h
Vendredi 24 octobre à 21h
Dimanche 26 octobre à 16h
Mardi 28 octobre à 21h