RETOUR VERS 2018 • JUIN 2019
France, 2018, 2h55
avec Shaïn Boumedine, Ophélie Bau, Salim Kechiouche
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avec Shaïn Boumedine, Ophélie Bau, Salim Kechiouche
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Amin, ex-étudiant en médecine à Paris, revient pour l’été à Sète, auprès des siens, une famille de restaurateurs d’origine tunisienne. Mektoub My Love vient s'il en était besoin confirmer qu'Abdellatif Kechiche est un grand cinéaste de notre temps, ce temps qu'il ouvre dans ses films pour soutenir un corps à corps passionné avec la jeunesse française. Entre la liberté qui souffle sur ce qu'on voit et la minutie qui caractérise le geste, nous ne nous sentons jamais ici écartelés mais conscients d'être les témoins d'une puissante déclaration d'amour à la vie, et au cinéma que Kechiche a choisi pour s'en approcher si près. Mektoub My Love est cette juste distance où, le rien, l'anecdote, un matériau brut, peut à chaque instant se forger un destin, faire surgir l'essentiel. - Jérome Baron
"Le nouveau film de Kechiche s’ouvre sur une scène aussi sensuelle qu’éruptive. (...) Mais le film prend une tournure inattendue. Alors que l’on pensait que le sexe serait le véhicule central du récit, voici que les sentiments prennent le relais. Et c’est magnifique : Mektoub my love est le plus beau film du cinéaste. (...) Il faut dire combien le programme orchestré par le réalisateur franco-tunisien est nettement plus radical que d’habitude. Non qu’il soit à l’opposé de ce qui définit son cinéma, mais le récit est plus libre, moins “produit”. L’indépendance du projet se sent à chaque plan, notamment la durée suprenante de certaines séquences, nous rendant parfois complètement groggy."
Thomas Aïdan, La septième obsession (mars-avril 2018)
"Le nouveau film de Kechiche s’ouvre sur une scène aussi sensuelle qu’éruptive. (...) Mais le film prend une tournure inattendue. Alors que l’on pensait que le sexe serait le véhicule central du récit, voici que les sentiments prennent le relais. Et c’est magnifique : Mektoub my love est le plus beau film du cinéaste. (...) Il faut dire combien le programme orchestré par le réalisateur franco-tunisien est nettement plus radical que d’habitude. Non qu’il soit à l’opposé de ce qui définit son cinéma, mais le récit est plus libre, moins “produit”. L’indépendance du projet se sent à chaque plan, notamment la durée suprenante de certaines séquences, nous rendant parfois complètement groggy."
Thomas Aïdan, La septième obsession (mars-avril 2018)
Séances • Juin 2019
- - lundi 10/06 14:30 - - vendredi 14/06 20:30
> Sous-titrage SME disponible pour les personnes sourdes ou malentendantes, publics@lecinematographe.com
> Audiodescription disponible pour les personnes aveugles ou malvoyantes, publics@lecinematographe.com
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