CYCLE "SPORT ET CINÉMA" • JANVIER - FÉVRIER 2019
France, 2016, 1h42
avec Toki Pilioko, Iliana Zabeth, Mikaele Tuugahala
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avec Toki Pilioko, Iliana Zabeth, Mikaele Tuugahala
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Un jeune rugbyman wallisien vivant à Nouméa est repéré par un agent recruteur qui veut l’envoyer en métropole malgré la violente opposition de son père qui finira par le chasser... Rude apprentissage de la vie pour un jeune rugbyman doué. Mentalement il a du mal à échapper aux valeurs patriarcales ancestrales ; arrivé en métropole il est accueilli mais marginalisé avec les joueurs étrangers ; comme rugbyman il est au centre de la lutte de son petit club pour sa survie dans un sport qui se professionnalise. La caméra de Sacha Wolff le suit de près : proposant en comparaison quelques plans style "spectacle sportif télévisuel", elle est pour l’essentiel au ras du terrain, au plus près des corps. Nous sommes au cœur de toutes les mêlées.
"Sacha Wolff, qui signe ici son premier long métrage, cite volontiers les films de samouraï parmi les références qu'il s'est données pour travailler. C'est à dire que l'histoire singulière du personnage principal est toujours prise dans un espace symbolique plus vaste qui le dépasse et néanmoins l'enferme dans un constant réseau de codes et de significations qu'il lui faut apprendre à déchiffrer et endosser." Didier Péron, Les Inrockuptibles (octobre 2016)
"Tout sonne ici tellement juste, tout semble au plus près de ce qui est ! Le stade Henri-Cavalier de Fumel, les ruines fumantes de l'industrie de la fonte locale, les petits notables, propriétaires de la boîte de nuit, qui se la jouent rois du monde, les mêlées impitoyables des brutes au grand coeur, la triche et le dopage en sous-main, la haine et la fraternité... Autant de rites auxquels répondent (...) les cérémonials océaniens, avec leur clameur tellurique, leur royauté propre, leur défense virile du sens de l'honneur, leur folie tragique et grimaçante." Jacques Mandelbaum, Le Monde (octobre 2016)
"Sacha Wolff, qui signe ici son premier long métrage, cite volontiers les films de samouraï parmi les références qu'il s'est données pour travailler. C'est à dire que l'histoire singulière du personnage principal est toujours prise dans un espace symbolique plus vaste qui le dépasse et néanmoins l'enferme dans un constant réseau de codes et de significations qu'il lui faut apprendre à déchiffrer et endosser." Didier Péron, Les Inrockuptibles (octobre 2016)
"Tout sonne ici tellement juste, tout semble au plus près de ce qui est ! Le stade Henri-Cavalier de Fumel, les ruines fumantes de l'industrie de la fonte locale, les petits notables, propriétaires de la boîte de nuit, qui se la jouent rois du monde, les mêlées impitoyables des brutes au grand coeur, la triche et le dopage en sous-main, la haine et la fraternité... Autant de rites auxquels répondent (...) les cérémonials océaniens, avec leur clameur tellurique, leur royauté propre, leur défense virile du sens de l'honneur, leur folie tragique et grimaçante." Jacques Mandelbaum, Le Monde (octobre 2016)
Séances • Janvier-Février 2019
- - vendredi 25/01 16:30 - - dimanche 27/01 14:30 - - dimanche 3/02 18:30
> Sous-titrage SME disponible pour les personnes sourdes ou malentendantes, publics@lecinematographe.com
> Audiodescription disponible pour les personnes aveugles ou malvoyantes, publics@lecinematographe.com
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