PROGRAMMATION OCTOBRE 2007
France, 1968, 1h22
avec Marlène Jobert, Jean Yanne, Macha Méril, Christine Fabréga, Jacques Galland
avec Marlène Jobert, Jean Yanne, Macha Méril, Christine Fabréga, Jacques Galland
Marié à Françoise, Jean a une liaison avec Catherine depuis six ans. Il l’emmène sur le tournage d’un film qu’il va réaliser en Camargue, mais se conduit si odieusement que Catherine se réfugie chez sa grand-mère, où Jean la rejoint. Rupture, réconciliation, nouvelle rupture : tel est le cycle infernal de ce couple terrible... Ouvertement autobiographique, ce deuxième long métrage est une saisissante chronique de la cruauté des sentiments.
« Maurice Pialat n’a jamais caché que ce récit était autobiographique. Le personnage de Jean, avec sa veulerie, son caractère exécrable et ses accès de tendresse, c’est lui. « Un portrait sans retouches »auquel Jean Yanne donne son extraordinaire naturel, récompensé du Prix d’Interprétation à Cannes malgré ses protestations. Marlène Jobert et Macha Méril, la maîtresse et l’épouse, sont également parfaites. »
G.L, Dictionnaire des films, Larousse
« Maurice Pialat filme une vérité instantanée, ni improvisée ni romanesque, juste livrée comme ça, grise et mordante. Marlène Jobert offre un petit visage défait, émouvant, face à Jean Yanne, odieux, inquiet, résonnent en décalage avec ses proches. Pialat signait là son deuxième long-métrage, ouvertement autobiographique. Une saisissante chronique de la cruauté des sentiments, qui depuis, n’a cessé de hanter ses films. »
Cécile Mury, Télérama
« Maurice Pialat n’a jamais caché que ce récit était autobiographique. Le personnage de Jean, avec sa veulerie, son caractère exécrable et ses accès de tendresse, c’est lui. « Un portrait sans retouches »auquel Jean Yanne donne son extraordinaire naturel, récompensé du Prix d’Interprétation à Cannes malgré ses protestations. Marlène Jobert et Macha Méril, la maîtresse et l’épouse, sont également parfaites. »
G.L, Dictionnaire des films, Larousse
« Maurice Pialat filme une vérité instantanée, ni improvisée ni romanesque, juste livrée comme ça, grise et mordante. Marlène Jobert offre un petit visage défait, émouvant, face à Jean Yanne, odieux, inquiet, résonnent en décalage avec ses proches. Pialat signait là son deuxième long-métrage, ouvertement autobiographique. Une saisissante chronique de la cruauté des sentiments, qui depuis, n’a cessé de hanter ses films. »
Cécile Mury, Télérama
SEANCES
Mercredi 17 octobre à 20h30
Samedi 20 octobre à 18h
Dimanche 21 octobre à 16h30
Lundi 22 octobre à 20h30
Samedi 20 octobre à 18h
Dimanche 21 octobre à 16h30
Lundi 22 octobre à 20h30