RÉTROSPECTIVE VILMOS ZSIGMOND - JANVIER 2017
USA, 1976, 1h38, VOSTF
avec Cliff Robertson, Geneviève Bujold
NUM • VERSION RESTAURÉE
avec Cliff Robertson, Geneviève Bujold
NUM • VERSION RESTAURÉE
Michael Courtland, homme d’affaire, voit sa femme Elizabeth et sa fille kidnappées, puis mourir dans un accident de voiture tandis que la police tente de les sauver. Anéanti, il passe les quinze années suivantes de sa vie avec cette obsession du passé. Jusqu’à rencontrer Sandra, sosie parfait d’Elizabeth. Brian De Palma a bâti les bases de son œuvre d’après son admiration d'Alfred Hitchcock, son maître à filmer. Normal qu'il choisisse Sueurs froides pour son film le plus ouvertement hitchcockien. L'identité évidente entre les deux œuvres fait que Obsession ne fonctionne parfaitement qu'en comparaison avec Sueurs froides.
"Brian donne essentiellement des indications sur l'échelle des plans : un gros plan, un plan large... Il pense au découpage qu'il a en tête. Pour installer les éclairages, j'ai toujours été assez libre avec lui. Pour ce qui est de la composition, à mes débuts j'ai tourné la plupart de mes films en anamorphique. L'écran large est ce qu'il y a de mieux pour composer ses plans. J'aime l'idée de gros plans qui continuent de montrer l'endroit où on se trouve, cela crée un sentiment de réalité. Je n'aime pas les films qui reposent sur une stylisation sans rapport avec la réalité. J'aime les films qui traitent de quelque chose d'humain." Vilmos Zsigmond, Les Cahiers du cinéma, n°702 - Dossier De la Lumière - À la rencontre des chefs opérateurs
"Brian donne essentiellement des indications sur l'échelle des plans : un gros plan, un plan large... Il pense au découpage qu'il a en tête. Pour installer les éclairages, j'ai toujours été assez libre avec lui. Pour ce qui est de la composition, à mes débuts j'ai tourné la plupart de mes films en anamorphique. L'écran large est ce qu'il y a de mieux pour composer ses plans. J'aime l'idée de gros plans qui continuent de montrer l'endroit où on se trouve, cela crée un sentiment de réalité. Je n'aime pas les films qui reposent sur une stylisation sans rapport avec la réalité. J'aime les films qui traitent de quelque chose d'humain." Vilmos Zsigmond, Les Cahiers du cinéma, n°702 - Dossier De la Lumière - À la rencontre des chefs opérateurs
Séances
samedi 07/01 19:00 - - dimanche 08/01 21:00 - - jeudi 12/01 18:30