PROGRAMMATION AVRIL 2010
France, 1991, 1h35
Avec Jean-Pierre Léaud, Thomas Langmann, Martin Lamotte, Judith Godrèche
Avec Jean-Pierre Léaud, Thomas Langmann, Martin Lamotte, Judith Godrèche
Adrien, 19 ans, mêlé à un vol d'argent, s'enfuit de Bordeaux et débarque à Paris chez son père, Clément, qu'il n'a pas vu depuis quatre ans. Clément a passé la quarantaine. C'est un être immature qui se raccroche à sa jeunesse en ayant une maîtresse de 19 ans, Louise. L'arrivée d'Adrien attise le conflit latent entre son père et la jeune fille.
« Paris s'éveille est un film sur Paris et dans Paris. Olivier Assayas, à l'exemple de ce que firent les cinéastes de la Nouvelle Vague en leur temps, filme la ville là où ses personnages vont se nicher, se déplacer et parfois se perdre dans l'agitation quotidienne. L'amour se cogne aux réalités, comme les personnages se heurtent aux limites de leur existence citadine. L'histoire se termine sur un extraordinaire plan-séquence « ophulsien » dans un décor rouge et or. »
Jacques Siclier, Télérama
« Dès les premiers plans de Paris s'éveille, sombres urbains, on entre dans un univers qui n'appartient qu'à son auteur. Le film affirme d'emblée une écriture, un monde, en deux mots un style qui, après L'enfant de l'hiver, existe à l'évidence, ne se cherche plus. »
Nicolas Saada, Les Cahiers du Cinéma
« Il y a dans Paris s'éveille un mouvement perpétuel, une circulation anonyme, furtive, un flux de personnes. Nuit et jour, c'est un Paris en état de veille dont le mouvement continu, devenu imperceptible, produit une impression extrêmement puissante de tristesse, même de deuil. »
Marie-Anne Guérin, Les Cahiers du Cinéma
« Paris s'éveille est un film sur Paris et dans Paris. Olivier Assayas, à l'exemple de ce que firent les cinéastes de la Nouvelle Vague en leur temps, filme la ville là où ses personnages vont se nicher, se déplacer et parfois se perdre dans l'agitation quotidienne. L'amour se cogne aux réalités, comme les personnages se heurtent aux limites de leur existence citadine. L'histoire se termine sur un extraordinaire plan-séquence « ophulsien » dans un décor rouge et or. »
Jacques Siclier, Télérama
« Dès les premiers plans de Paris s'éveille, sombres urbains, on entre dans un univers qui n'appartient qu'à son auteur. Le film affirme d'emblée une écriture, un monde, en deux mots un style qui, après L'enfant de l'hiver, existe à l'évidence, ne se cherche plus. »
Nicolas Saada, Les Cahiers du Cinéma
« Il y a dans Paris s'éveille un mouvement perpétuel, une circulation anonyme, furtive, un flux de personnes. Nuit et jour, c'est un Paris en état de veille dont le mouvement continu, devenu imperceptible, produit une impression extrêmement puissante de tristesse, même de deuil. »
Marie-Anne Guérin, Les Cahiers du Cinéma
SEANCE UNIQUE
Mercredi 14 avril à 20h30