PROGRAMMATION DÉCEMBRE 2005
France, 1967, 2h08
Avec Jacques Tati, Barbara Dennek, Jacqueline Lecomte
Avec Jacques Tati, Barbara Dennek, Jacqueline Lecomte
L’odyssée de Monsieur Hulot dans un monde absurde de perfection, dans une société parisienne plongée dans le conformisme urbain. Tati atteint ici le sommet de son art.
« Avec Playtime, Jacques Tati inventait, en 1967, un humour sans comique de dialoque, plein de gags formels et de bruits (…). Ainsi Tati n’hésite-t-il pas à sacrifier les recettes éprouvées d’un comique sans surprise au profit d’un jeu très subtil sur l’image, le reflet, l’illusion cinématographique et le principe de réalité (…). Autant Jour de fête et Les Vacances de Monsieur Hulot relevaient d’un humour de narration, autant Playtime s’apparente à une performance plastique. »
Hervé Gauville, Libération
« Film très coûteux, entièrement tourné en décors artificiels, sa réalisation pris trois ans et ruina son réalisateur. Ce qui surprit, c’est que Hulot n’est pas le personnage principal, plus souvent observateur que cause de gags. Le film comporte une certaine critique de la société de consommation et de l’architecture moderne inhumaine, mais il décrit surtout avec génie le bouleversement que la vie engendre dans un univers réglé par une logique abstraite. »
Joël Magny, Les Cahiers du cinéma
« Avec Playtime, Jacques Tati inventait, en 1967, un humour sans comique de dialoque, plein de gags formels et de bruits (…). Ainsi Tati n’hésite-t-il pas à sacrifier les recettes éprouvées d’un comique sans surprise au profit d’un jeu très subtil sur l’image, le reflet, l’illusion cinématographique et le principe de réalité (…). Autant Jour de fête et Les Vacances de Monsieur Hulot relevaient d’un humour de narration, autant Playtime s’apparente à une performance plastique. »
Hervé Gauville, Libération
« Film très coûteux, entièrement tourné en décors artificiels, sa réalisation pris trois ans et ruina son réalisateur. Ce qui surprit, c’est que Hulot n’est pas le personnage principal, plus souvent observateur que cause de gags. Le film comporte une certaine critique de la société de consommation et de l’architecture moderne inhumaine, mais il décrit surtout avec génie le bouleversement que la vie engendre dans un univers réglé par une logique abstraite. »
Joël Magny, Les Cahiers du cinéma
SEANCES
vendredi 23 décembre à 20h30
dimanche 25 décembre à 17h30
mardi 27 décembre à 18h
dimanche 25 décembre à 17h30
mardi 27 décembre à 18h