PROGRAMMATION DÉCEMBRE 2007
USA, 1960, 1h49, VOSTF
Avec Anthony Perkins, John Gavin, Vera Miles, Janet Leigh
Avec Anthony Perkins, John Gavin, Vera Miles, Janet Leigh
Après avoir volé 40 000 dollars, Marion Crane se rend dans un motel tenu par Norman Bates. Elle est poignardée sous sa douche par une femme. Norman fait disparaître le corps et les affaires de la jeune femme. Mais Sam, le fiancé de Marion, inquiet de ne pas avoir de nouvelles, engage un détective pour la retrouver... L’un des films cultes d’Hitchcock, à la narration innovante, où le suspense est porté par une musique de Bernard Hermann restée dans les mémoires.
« Inspiré d’un roman de Robert Bloch, c’est le film où Hitchcock s’amuse le plus avec le spectateur : l’héroïne à laquelle il est possible de s’identifier disparaît à mi-parcours. le cinéaste ne cesse de jouer sur la frustration du spectateur et la provocation contre les censeurs. lors de la fameuse scène de la douche, par exemple, ils s’arracheront les cheveux pour savoir s’il y a nudité ou non de Janet Leigh ! Dernier grand film de Hitchcock ? Non, mais celui qui rompt de manière fulgurante avec la narration classique, via la nouvelle esthétique télévisuelle. L’expérience est d’autant plus révolutionnaire qu’elle est menée par un créateur qui, pendant un demi-siècle, s’est acharné à construire un univers entièrement contrôlé. »
Aurélien Ferenczi, Télérama
« Inspiré d’un roman de Robert Bloch, c’est le film où Hitchcock s’amuse le plus avec le spectateur : l’héroïne à laquelle il est possible de s’identifier disparaît à mi-parcours. le cinéaste ne cesse de jouer sur la frustration du spectateur et la provocation contre les censeurs. lors de la fameuse scène de la douche, par exemple, ils s’arracheront les cheveux pour savoir s’il y a nudité ou non de Janet Leigh ! Dernier grand film de Hitchcock ? Non, mais celui qui rompt de manière fulgurante avec la narration classique, via la nouvelle esthétique télévisuelle. L’expérience est d’autant plus révolutionnaire qu’elle est menée par un créateur qui, pendant un demi-siècle, s’est acharné à construire un univers entièrement contrôlé. »
Aurélien Ferenczi, Télérama
SEANCES
Jeudi 27 décembre à 20h30
Dimanche 30 décembre à 18h30
Mercredi 2 janvier à 20h30
Vendredi 4 janvier à 18h30
Dimanche 6 janvier à 18h
Dimanche 30 décembre à 18h30
Mercredi 2 janvier à 20h30
Vendredi 4 janvier à 18h30
Dimanche 6 janvier à 18h