INTÉGRALE JEAN-FRANÇOIS STÉVENIN • AVRIL - MAI 2019
France, 1978, 1h53
avec Jacques Villeret, Jean-François Stévenin
NUM, version restaurée
avec Jacques Villeret, Jean-François Stévenin
NUM, version restaurée
Georges, architecte parisien, tombe en panne alors qu’il se rend à un séminaire. Serge, garagiste jurassien, lui propose de rester chez lui le temps des réparations. Mais celles-ci traînent et l’attente excède Georges. D’une méfiance réciproque, la relation entre les deux hommes évolue en une amitié qui va les conduire à explorer la montagne, jusqu’à ce que Serge révèle son grand projet à Georges. Récit de vacances improvisées progressivement gagné par l’insomnie et l’ébriété, tourné sur les terres natales du cinéaste, Passe montagne distille une étrangeté fascinante, une puissance née de l’installation du réel dans la fiction et du désir des personnages de sortir de leur routine autant que du cinéaste de s’abstraire des standards esthétiques du cinéma français.
"On entre dans l’univers du jeune réalisateur Jean-François Stévenin comme dans un parc naturel peuplé de vraies merveilles. C’est excitant, fou, tonifiant comme une de ces nuits blanches qu’on a connues au moins une fois dans sa vie. Odeurs, parfums, couleurs, langoureux vertiges." Le Point (6 nov 1978)
"Ce film s’apparente étrangement à toute une école de nouveau cinéma américain, née avec la fin des années 60. Stévenin filme les relais routiers la nuit et les ambiances populaires comme Cassavettes, les décors rustres comme Monte Hellman ou Stan Dragoti, les tensions et les rêves d’un instant comme le Terrence Malick de La balade sauvage. La référence n’est ni explicite ni directe, et en ce sens Passe-montage n’est pas à proprement parler un « film de cinéphile », mais il ne saurait y avoir de hasard : le film de Jean-François Stévenin est trop animé par l’amour du cinéma." Gilles Colpart, Les Cahiers du cinéma
"On entre dans l’univers du jeune réalisateur Jean-François Stévenin comme dans un parc naturel peuplé de vraies merveilles. C’est excitant, fou, tonifiant comme une de ces nuits blanches qu’on a connues au moins une fois dans sa vie. Odeurs, parfums, couleurs, langoureux vertiges." Le Point (6 nov 1978)
"Ce film s’apparente étrangement à toute une école de nouveau cinéma américain, née avec la fin des années 60. Stévenin filme les relais routiers la nuit et les ambiances populaires comme Cassavettes, les décors rustres comme Monte Hellman ou Stan Dragoti, les tensions et les rêves d’un instant comme le Terrence Malick de La balade sauvage. La référence n’est ni explicite ni directe, et en ce sens Passe-montage n’est pas à proprement parler un « film de cinéphile », mais il ne saurait y avoir de hasard : le film de Jean-François Stévenin est trop animé par l’amour du cinéma." Gilles Colpart, Les Cahiers du cinéma
Séances • Avril 2019
- - vendredi 26/04 21:00 - - samedi 27/04 14:30 - - lundi 6/05 18:45
> Sous-titrage SME disponible pour les personnes sourdes ou malentendantes, publics@lecinematographe.com
> Audiodescription disponible pour les personnes aveugles ou malvoyantes, publics@lecinematographe.com
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